1. Quadrifoglio


    Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fffh, couple, grossexe, grosseins, groscul, campagne, fsoumise, noculotte, ffontaine, entreseins, Oral fdanus, fsodo, délire, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... aperçues, osa Gina !
    — Et puis, il va falloir livrer. Je vais de nouveau avoir un camion, s’exclama Leila ?
    — Si ça t’amuse, bien sûr. Tu vois, on a déjà un transporteur. Évidemment, il va falloir monter une société pour gérer tout ça. Je vous propose de l’appeler « Quadrifoglio », en lettres dorées sur fond noir, avec un trèfle à quatre feuilles vert pour trancher, et le label bio, vert également. Ça vous plaît ?
    — Super !
    — D’accord !
    — Oui, pourquoi pas, si la marque est disponible.
    — Une dernière chose : qui couche avec Marco ce soir ?
    — Mais toutes, mes chéries, toutes les trois ! Allez, à poil !
    
    Dans la chambre fraîche, Marco connut l’indescriptible plaisir de brouter la chatte de Regina pendant que Francesca jouait les cavalières sur son pénis et que Leila lui massait les testicules. Et elles tournaient fréquemment jusqu’à ce que chacune ait eu son content d’orgasmes et de sperme.
    
    Marco ressortit l’acte que Francesca avait rapporté du notaire et posa des questions. Il y était cité de nombreuses parcelles cadastrales, certaines qu’il connaissait, mais d’autres qu’il ne connaissait pas.
    
    — Tout se trouve dans les papiers de papa, lui dit Fran.
    — D’accord, et où se trouvent ces papiers ?
    — Dans le coffre, dans le bureau.
    — Je l’ai vu, effectivement, sous une bibliothèque. Mais où se trouve la clé du coffre ?
    — Ça, je ne sais pas. Dans les tiroirs du bureau, peut-être ?
    — Non, je les ai vidés pour pouvoir les utiliser, je n’ai pas trouvé de ...
    ... clé.
    
    Ils cherchèrent longuement la clé, découvrant ici et là d’anciennes photos, des lettres, des cartes postales, mais pas de clé. Ils en conclurent qu’elle devait se trouver quelque part derrière les livres couverts de poussière. Elle n’était pas derrière les livres, mais dans un faux livre-boîte.
    
    — Ah, tu vois Marco, s’exclama Leila. Si tu m’avais laissé faire le ménage à fond, je l’aurais trouvée.
    
    Pas de vraie surprise dans le coffre, il ne contenait que des papiers. Les livres de comptes du père et du grand-père, de nombreux actes de propriété et de naissance, quelques titres désormais sans valeur et des reconnaissances de dettes au profit de gens qui peuplaient le cimetière. Ils étalèrent sur le bureau les titres de propriété et les plans cadastraux, parfois très jaunis par le temps. C’était toute une partie de l’histoire familiale qu’ils regardaient là. Au départ, un certain Giuseppe, berger de son état, avait racheté sa petite bergerie et un lopin de terre à la mort de son employeur. C’est son fils, Franco, également berger, qui avait acheté d’autres terres dont la parcelle où était implantée la maison. Et c’est son fils qui la fit construire à la fin du 19e siècle, car il était à la fois berger et fromager, valorisant mieux son produit. Puis on trouva le grand-père, Benito, qui ne fit qu’agrandir le patrimoine pour élever un énorme troupeau de brebis, et enfin le père des filles, Carlo, qui ne se consacra qu’aux dix-huit hectares de vigne, puis planta les oliviers et ...
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