Quadrifoglio
Datte: 11/10/2021,
Catégories:
fh,
fffh,
couple,
grossexe,
grosseins,
groscul,
campagne,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
entreseins,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... la consommation immédiate et fit des conserves du reste, exactement comme faisait Claudia. Décidément, le moût de raisin composté faisait un excellent engrais. Les légumes poussaient presque sans effort. Il les avait semés serrés, bien à l’ombre des murs rehaussés de canisses, et avait recouvert la terre de paille récupérée dans un champ voisin. Tout ceci gardait la terre fraîche malgré le cagnard et limitait la pousse d’herbe. Il contrôla le niveau de la cuve d’eau de pluie, il n’en restait plus qu’un tiers. Un orage serait bienvenu. Il repensa à Leila. En fait, elle n’était pas si moche, ressemblant beaucoup à l’aînée, avec un visage plus doux et plein de charme. Mais ses formes étaient excessives pour sa taille, ou sa taille insuffisante pour ses formes. Qui de l’œuf ou de la poule ?… Dommage pour elle. Pourtant, dans ce presque nanisme, il y avait quelque chose de furieusement érotique, surtout quand elle était nue. Et puis cette particularité de gicler à chaque fois qu’elle jouissait était totalement étonnante et attractive. Mais elle ne valait pas Regina, sa Gina. Rien qu’en y pensant, il bandait. Elle avait tout : l’intelligence, la grâce, les jambes de Claudia, le visage calabrais et des gros nichons. Il la voulait de toutes ses pensées, de tout son cœur et de tout son sexe.
En une semaine, tous les parquets furent passés à la cire, les meubles encaustiqués, et Leila s’attaqua aux lessives. Elle décrocha tous les rideaux, ôta tous les dessus-de-lit, les draps, ...
... les couvre-matelas, les taies. Les matelas prirent le soleil aux fenêtres et elle demanda humblement à Marco de bien vouloir descendre au pressing de la ville toutes les couvertures et les édredons. Ce qu’il fit, en profitant pour déguster une grande bière à une terrasse ombragée. Leila prit une glace. Elle était drôle, il la surveillait du coin de l’œil. L’absence de culotte la contraignait à se tenir jambes croisées, genoux vers lui. À une dizaine de reprises, elle prit une inspiration pour faire tel ou tel commentaire sur des passants, le lieu ou n’importe quoi. Mais chaque fois elle se retenait, craignant le courroux de son maître. Car c’est bien ainsi qu’elle le considérait, désormais soumise. Elle n’eut pas droit à la halte sous l’olivier, il ne fallait pas polluer cet endroit réservé. Mais elle fit un tour à plat dos sur la table dès qu’elle fut nue, bien bourrée par les deux trous, ce qui la mit en joie avant de laver à grande eau le carrelage de la cuisine et du couloir. Le lendemain, au petit-déjeuner, elle osa demander :
— J’ai tout fait, sauf le bureau. Je peux ?
— Un coup d’aspirateur et de chiffon, ça suffira. En revanche, tu pourrais faire un peu de nettoyage et de rangement dans les caves, ce ne serait pas du luxe.
— Bien, Marco.
Deux jours plus tard, la cave était méconnaissable. Le sol, qui semblait de terre battue à force d’y entrer sans précautions et d’y laisser tomber n’importe quoi, avait retrouvé son magnifique pavage de pierres d’autrefois. Les ...