Quadrifoglio - Histoires de Sexe

Quadrifoglio

... mains frappèrent le lit. Marco appuya sa deuxième main sur le ventre pour la maintenir, et le pouce vint massacrer le clitoris. Là, elle cria franchement :

— Marco ! Qu’est-ce que tu me fais ? Ah mon Dieu ! Je vais jouir… Oh oui, je jouis…

Elle se tétanisa et se secoua en tous sens, hurlant une bordée de jurons, alors qu’un jet incroyable de liquide sortit de sa chatte et inonda le bras de Marco et le dessus-de-lit. Bingo, une femme fontaine ! La chose amusa beaucoup le ténébreux Calabrais qui ne tarda pas à recommencer, autrement cette fois, en la mettant à quatre pattes. Et le phénomène se reproduisit, à chaque fois, il giclait un bon verre à liqueur d’un liquide improbable, entre pisse et cyprine, de cette vulve particulière (non loin de la partie culière, bien évidemment).

— Oh là-là ! Mais pourquoi tu fais ça ? Je vais être obligée de laver toute la literie.
— Parce que ça m’amuse. Ça ne te fait pas du bien ?
— Ben si, mais… ça me fait honte. Ça me gêne que tu aies découvert ça… Même mon mari ne le sait pas. Jusque-là, il n’y avait que moi qui pouvais le provoquer. Mais je me mettais dans une baignoire.
— Ha-ha-ha ! Désormais tu vas le faire tout le temps. On va voir si une bonne queue te fait le même effet.

Il lui fit le ramonage du siècle, dans tous les sens que la petite taille de la donzelle le permettait. Le fier et puissant organe lui fit cracher sa curieuse liqueur par trois fois. Il était plus de quatorze heures quand le bonhomme se leva en ...

... claquant les grosses fesses et en tonnant :

— J’ai faim !
— Oui, Marco. J’arrive tout de suite, mais je vais me laver un peu.

Elle le trouva dans la cuisine en train de tartiner un pot de rillettes de canard.

— Que veux-tu manger, bel homme ?
— Il y a des tomates, des oignons et des œufs. Fais vite une salade avec citron et huile d’olive. Mais ôte-moi ces frusques ! Qui t’a dit de te rhabiller ?
— Personne, mais je pensais que pour déjeuner…
— Tu penses trop, et surtout tu jacasses trop. Fais et tais-toi.
— Bien, Marco.

Elle le regardait avec des yeux énamourés, soudain fascinée par le mâle qui venait de la faire autant jouir. Elle se serait jetée dans le feu pour lui. Elle se dévêtit et trottina sur ses échasses du frigo à l’évier, de l’évier au placard, nichons et fessier à l’air. Il la contemplait amusé.

— La prochaine fois, je te sodomise.
— Oh non, Marco, pas ça, je t’en prie.
— J’ai dit !
— Bien Marco, comme il te plaira.

Instinctivement, le fessier s’était crispé et resserré, et ça le faisait sourire intérieurement. Celle-ci avait été encore plus facile à mater que les deux autres. Il mangea et but de fort bon appétit, sous l’œil bienveillant de la petite bonne femme. Il réclama un café et déclara :

— Je vais jardiner.
— Et moi, que veux-tu que je fasse ?
— Continue ton ménage, c’est bien et ça sent bon la cire.
— Oui, Marco. Bien, Marco. J’y vais.

Même pas drôle. Il alla cueillir un grand panier de haricots verts, en réserva une partie pour ...