1. Quadrifoglio


    Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fffh, couple, grossexe, grosseins, groscul, campagne, fsoumise, noculotte, ffontaine, entreseins, Oral fdanus, fsodo, délire, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... le kilo, et cinq hectares de citrons bios à ne serait-ce qu’un euro le kilo, ce serait déjà une fortune, des centaines de milliers d’euros par an. Quant aux olives, c’est environ mille cinq cents litres d’huile que l’on peut produire ici, d’une extrême qualité, encore une fortune, sans compter ce vin exceptionnel. En fait, leur père leur a laissé une fortune en héritage, qui se perd en friches inutiles… Il faut remédier à cela, et pas seulement pour l’argent.
    
    Elle envoya des textos à ses sœurs. Le reste de son séjour se passa dans une forme d’extase, profitant de la vie, de la nature et de ses dons, des caresses amoureuses et des folles séances de sexe avec Marco. Elle n’enfila plus un vêtement, sauf pour aller acheter le pain, prenant même plaisir à discuter avec les gens du village, nue sous sa jupe et sa veste, sans chemisier. Elle se sentait fabuleusement heureuse et libre dans cette vie limitée à l’essentiel : bien manger, bien baiser, bien dormir. C’était le plus grand des luxes. Il lui fallut bien, même à regret, y mettre fin.
    
    — Marco, je ne peux pas rester ici comme ça, sans faire tout ce qu’il faut pour le faire proprement. Mais je te le dis, c’est décidé, je divorce et je reviens vivre ici. C’est promis, c’est juré, parole de Calabraise.
    
    Elle n’était pas sitôt partie que Leila débarqua. Un autre genre, à tous points de vue. Petite comme Claudia, elle avait tous les atouts et les formes de Francesca, mais avec quinze centimètres de moins c’était du ...
    ... concentré. En plus, c’était certainement la moins bien dotée intellectuellement des quatre sœurs. Ne sachant trop que faire avec des résultats moyens à l’école, elle avait opté pour un diplôme de commerce. Le stage en entreprise l’avait amenée chez un producteur de fruits, c’est là qu’elle avait fait connaissance avec son futur mari, le fils du patron, qui la sauta comme un forcené pendant tout le stage. Il était jeune et sans discernement, cette fille avait des gros seins et un gros cul, elle le faisait bander, il l’épousa. Rapidement, il reprit l’exploitation de son père et se rendit compte que les intermédiaires se sucraient éhontément : on lui achetait ses tomates un demi-euro, il les avait payées vingt-cinq centimes au producteur, et elles étaient le lendemain au supermarché à quatre euros.
    
    L’intermédiaire prenait le coût du transport, normal, mais un énorme bénéfice. Il revendait sa marchandise à deux euros. Que le distributeur ait des frais, de personnel, de locaux, d’énergie et qu’il prenne également son bénéfice, il voulait bien l’entendre. Mais l’intermédiaire, ça, il lui restait en travers de la gorge. Il négocia avec les distributeurs pour les alimenter en direct, vendant désormais sa marchandise au prix du grossiste. Certes, il fallait la livrer, mais il gagnait trois fois plus. Le voilà donc sur les routes avec son premier camion. Leila eut droit au second camion et se mit à livrer elle aussi. Pour avoir une production suffisante, ils proposèrent leur astuce à ...
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