Quadrifoglio
Datte: 11/10/2021,
Catégories:
fh,
fffh,
couple,
grossexe,
grosseins,
groscul,
campagne,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
entreseins,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... voulait aussi de tant ressembler à son épouse regrettée, mais en ayant de gros seins. Il aimait les gros seins, il aimait les culs bien rebondis. Et puis que venait-elle faire ici ? C’est bon, Francesca l’avait couvé pendant quinze jours, son moral était bien remonté, elle n’avait pas vraiment de raison d’être ici « pour prendre soin de lui », comme elle répétait sans cesse. Et puis cette façon qu’elle avait de promener partout son air hautain. Certes, elle ne l’aurait pas eu, elle ne serait pas calabraise. Mais tout de même.
De son côté, Regina avait de tout autres idées en tête : comment amener Marco dans son lit, parce que le sexe qu’elle avait aperçu n’avait pas quitté sa mémoire depuis vingt jours. Et puis aussi, avait-il couché avec Francesca ? Ce serait très étonnant, rébarbative et autoritaire comme était son aînée, mais… on ne sait jamais, une femme reste une femme et même une femme de tête a ses faiblesses. Et puis Marco est tellement beau, tellement de notre province.
— Que souhaites-tu que je te prépare pour dîner ?
— C’est déjà prêt, dans le frigo, plus qu’à réchauffer…
— Ah oui ? C’est toi qui l’as fait ?
— Bien sûr…
— J’aime cette chaleur sèche. À Naples, c’est toujours humide à cause de la mer. Et puis ça pue, c’est pollué.
— Personne ne t’oblige.
— À y vivre ? Mais si, bien sûr. J’y ai ma maison, mon mari…
— C’est lui qui t’a gonflé les seins ?
— Mes seins ? Mais pas du tout, ils sont naturels, je te le garantis. D’ailleurs Giani refuserait de ...
... me retoucher quoi que ce soit. Il fait un fric fou en opérant des femmes riches, mais il est persuadé qu’un jour où l’autre, ce sera la catastrophe pour elles.
— Il est malhonnête en somme…
— N… non, pas vraiment. Il profite de la situation, de la mode actuelle. Si ce n’était pas lui, ce serait un autre à sa place.
— Et la maison est à lui ?
— Bien sûr, puisque je ne travaille pas. Et une villa de deux millions sur les hauteurs de Naples, avec vue sur la baie, il faut un sacré job !
— Donc si je résume, tu vis à Naples, ville qui pue avec une chaleur humide détestable, avec un malhonnête, dans une maison qui lui appartient. J’en conclus que rien ne te retient à Naples, puisqu’ici tu as TA maison, pour un quart, avec un climat qui te convient et de l’air pur.
— Si c’est ce que tu penses… tu ne peux pas comprendre.
— Si, si, très bien, même. Mais il faut aussi comprendre le choix des autres, le mien, celui de Claudia, de rester ici et d’essayer de vivre « de l’air du temps », comme vous dites. Comprendre et accepter sans condescendance notre choix de vie, sans laisser son obole dans le pot de la cuisine comme dans le tronc d’une église, pour les pauvres.
— Bon, eh bien ça, c’est dit, merci pour l’accueil. Tiens, prenons donc un apéro, j’en ai besoin. Qu’est-ce que tu bois ?
— Attends, je reviens, un tour à la cave…
— …
— Tiens, goûte-moi ça, je voudrais ton avis.
— Qu’est-ce que c’est ?
— Goûte d’abord, on verra après. Tiens, j’en bois, ce n’est pas empoisonné !
— ...