Quadrifoglio
Datte: 11/10/2021,
Catégories:
fh,
fffh,
couple,
grossexe,
grosseins,
groscul,
campagne,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
entreseins,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... puis croisa et décroisa ses jambes à plusieurs reprises. Cette fois, elle en était sûre, le vieil homme avait aperçu sa toison d’astrakan. Il se raclait la gorge, devenait tout rouge, et elle obtint finalement aussi tout ce qu’elle souhaitait. Hé-hé ! Le pouvoir d’une chatte entraperçue est redoutable. C’était décidé, elle n’allait plus se priver d’en jouer. Elle revint avec un titre au nom de Marco pour le quart de la propriété, maison et terres.
— Ça alors, s’exclama-t-il, moi qui n’ai jamais rien eu. Donne vite !
— Tss tss tss ! Pas si vite, mon ami. Pas avant que tu ne m’aies léché la chatte et le cul !
— Hum… tu apprends vite, c’est bien. Relève ta jupe et mets-toi en position.
Une fois, au réveil, pour se mettre en forme, une fois en guise d’apéritif, une sieste crapuleuse au moment du fort cagnard et au moins deux fois dans la soirée, parfois plus, Francesca se livrait à une sexualité débridée qu’elle n’avait jamais connue jusqu’alors, et s’en trouvait fort heureuse. Et surtout elle vouait à son étalon calabrais une dévotion sans mélange qui lui faisait un peu peur. Comment retourner à Rome et abandonner tout ça ? Elle prolongea son séjour de quelques jours, mais ne trouva plus de prétexte pour rester encore. Elle dut laisser la place à Regina, folle de rage et de jalousie. Elle partit en emportant deux bouteilles du vin de Marco, deux, car il ne lui en restait qu’une centaine sur les quatre cents produites, dont une dizaine réservée à la conservation pour ...
... évaluer le vieillissement.
Regina arriva deux jours plus tard. De toutes, la plus grande, elle paraissait encore plus longiligne, juchée sur des escarpins aux talons de plus de dix centimètres. Elle était également la plus calabraise. Mâchoire carrée, menton légèrement prognathe, de hautes pommettes saillantes, un nez légèrement aquilin et la peau très mate. Ses longs cheveux noirs, ramassés en arrière par une large boucle, flottaient à chacun de ses pas.
— Bonjour Marco. Alors, comment vas-tu ? La dernière fois que je t’ai vu, tu n’étais pas très en forme, et c’est compréhensible. Moi aussi, tu sais, j’ai eu bien du mal à surmonter cette épreuve.
— Ça va, ça va…
— Oh-oh… ça ne s’est pas bien passé avec Francesca ?
— Si, si.
— Je m’installe dans ma chambre habituelle, n’est-ce pas ?
— Fais comme tu veux.
Francesca manquait déjà à Marco qui avait retrouvé en elle une formidable compensation à l’absence de son épouse. L’arrivée de la seconde sœur le déstabilisait un peu. D’abord, parce qu’elle répondait à tout ce qu’il considérait comme les canons de la beauté calabraise. Ensuite, parce qu’elle lui rappelait encore plus Claudia, par sa finesse, ses hanches étroites malgré des fesses pommées. Enfin, parce qu’il avait le souvenir d’instants douloureux partagés avec cette femme, qui l’avait assisté alors qu’il n’était qu’une loque. Sa fierté de calabrais en avait pris un coup, il lui en voulait presque de l’avoir déshabillé et séché le jour des obsèques. Il lui en ...