La robe à boutons
Datte: 11/10/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
candaul,
vacances,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
confession,
vengeance,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... voir ma main passer sous la table et revenir après avoir défait les deux boutons. De là où il est, il doit voir mes jambes. Mes jambes et mes cuisses, d’autant que Marc s’est déplacé sur le côté. C’est comme un tableau vivant.
— Garçon ?
Évidemment qu’il approche ! Je le suis du regard. Il fixe la table et en regardant dans cette direction, je découvre ma petite culotte bien en évidence. C’est comme une provocation, une invitation que l’homme comprend aussitôt comme s’il était familier de ce genre de « commande ». Il fait tomber « malencontreusement » son ouvre-bouteille et avec un « pardon », le voici qui se baisse. Je ne vois plus sa tête, mais à l’orientation de son corps il regarde« l’Origine du monde ». Mais une origine qu’aucun poil ne cache, un monde de bosses et de vallons, un monde où, mon dieu pardonnez-moi, mais j’obéis au geste muet de mon mari qui de ses deux mains qui se séparent me demande d’ouvrir les cuisses.
Marc me prend la main. Il me la serre pendant que le serveur regarde et se relève. Son sourire est une récompense.
— Je voulais vous demander quelque chose, dit mon mari qui l’entraîne un peu plus loin.
Le conciliabule ne dure pas longtemps. Le serveur montre une direction, une clé que Marc veut saisir, mais que l’homme conserve tout en parlant. Quelques secondes et Marc revient vers moi.
— Viens, Chérie, il veut nous montrer quelque chose.
Ce quelque chose est au sous-sol, une porte marquée « Privé », une porte que la fameuse clé ...
... ouvre, une porte qui donne accès à un petit local, manifestement un lieu pour les employés.
La porte se referme. Aussitôt Marc m’enlace. Je sens sa verge tout contre mon pubis. L’expérience a réussi une nouvelle fois. Mais cette fois-ci, on nous regarde. Le serveur s’est assis sur une chaise. Marc me soulève et me pose sur une petite table. Aussitôt il dégrafe les derniers boutons et me voici nue. Il plonge entre mes cuisses et me caresse. Il me fait du bien, mais je ne peux oublier la présence du jeune homme. Cette fois-ci le voyeur est juste à côté de nous et non plus déjà oublié sur la route ou sur la terrasse.
— Ahhhh
Je ne peux retenir ce cri arraché par les lèvres et la langue de mon mari qui a extirpé mon clitoris de sa protection pour l’aspirer.
Je ne regarde plus vers l’homme.
C’est un plafond sordide que je ne vois pas vraiment alors que je jouis de ses caresses.
C’est un plafond bien vite caché par le corps de mon mari qui, mission accomplie, vient recueillir le fruit de son labeur. Il me possède d’une poussée. Je suis grasse, humide, gluante et son mandrin écarte mes chairs si impatientes qu’elles demandent déjà du mouvement. Et pour le mouvement je suis gâtée. Marc est en grande forme, ses reins sont les propulseurs d’une queue qui découvre des lieux inexplorés.
Je m’ouvre à lui. Mes jambes l’enlacent. Je veux le garder. Je veux le garder, mais je suis sa chose. Je ne suis plus l’épouse, mais une femme, une femelle qu’un homme défonce pour un ...