La robe à boutons
Datte: 11/10/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
candaul,
vacances,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
confession,
vengeance,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... brûlant et qui a craché assez vite. Je comprends maintenant, il traînait son envie depuis un moment. Et puis il a continué une première fois presque sans débander en me soulevant et me promenant dans l’appartement telle une guenon empalée sur lui. La troisième fois, il nous a conduits sur la terrasse. Je devine maintenant pourquoi. Un besoin de nous exposer même si personne ne pouvait nous voir si ce n’est en levant la tête depuis la rue. Il m’a demandé de le sucer et de le chevaucher.
— Juste un bouton. Je négocie.
— Non, il faut vraiment qu’il puisse voir, pas seulement deviner. Deux, s’il te plaît.
Un silence et puis :
— Regarde. Il est jeune. Il est beau. Il doit avoir toutes les filles qu’il veut. Tu ne le laisses pas indifférent.
— Moi, mais non, quelle idée ?
— Je te jure. Je l’ai surpris plus d’une fois à te regarder.
— Mais il pourrait être mon fils.
— Non, un homme, un jeune homme certes, mais qui sait reconnaître la beauté.
— Marc, tu cherches à…
— Deux boutons. Si rien ne se passe, je t’invite au « trois étoiles » sur la route de…
— Tu vas perdre.
— Deux boutons.
Deux boutons. Mes seins poussent le tissu ouvert. Si je me penche, je peux voir nettement les tétons. Malgré un haut de maillot de bain plutôt petit, les zones blanches font une tache claire, quasiment lumineuse qui tranche sur le tissu à fleurs.
— Garçon ?
Marc appelle le serveur. Il voit tout de suite ma tenue négligée. C’est comme si son regard ne pouvait plus quitter ce ...
... que je lui dévoile. Marc me fait le geste de me pencher un peu. Je ne sais pas pourquoi, mais je le fais, encouragée par les mouvements maladroits de la monnaie qu’il nous rend.
— Gardez la monnaie.
Cela fait plus de cinq euros.
— Merci, Monsieur. Et puis après une seconde il ajoute : merci, Madame.
Il n’est pas dupe. Il a très bien compris notre petit jeu. Je dis « notre », car je me suis glissée bien facilement dans la peau de l’épouse qui se montre si impudique.
— Tu vois ! dit mon mari triomphant.
Il est impatient.
— Viens, Chérie.
Pour remonter à notre appartement, nous passons par un parc. Il est près de vingt heures et le monde se fait rare. Au détour du chemin, il m’entraîne derrière une haie.
— Suce-moi, je ne pourrais pas tenir jusqu’à la maison.
J’obéis. J’ai moi aussi une excitation de ce que j’ai fait. Il est dur. Je le pompe avec entrain. Il pousse ma tête sur lui pour que je le gobe au mieux. En quelques minutes il se vide dans ma gorge.
— Viens, Chérie, je vais m’occuper de toi.
Le chemin n’est pas long, mais je coule d’envie. Alors c’est un feu d’artifice. Nous sommes des pervers, mais que c’est bon !
C’est un fruit défendu, mais il est délicieux. Un fruit qui mûrit après chaque « exposition », même si c’est moi qui m’expose. Marc est imaginatif. Il fait beau. On décapote presque toujours notre cabriolet. On dirait que mon mari a repéré depuis longtemps les endroits les plus favorables. Une route avec des feux qui se ...