1. Mes deux seins malgré elle


    Datte: 05/10/2021, Catégories: fh, voisins, grosseins, groscul, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... de toute distraction : « les noix, ça n’attend pas, si c’est trop cuit, c’est caoutchouc ! » Nous les dégustons donc avec une délicieuse fondue de poireaux du jardin, puis elle me demande ce que je souhaite comme dessert.
    
    — Rien d’autre que ta boîte à trésor, dis-je en débarrassant prestement la table.
    
    Je l’invite donc à se coucher sur la table devant ma chaise, je me rassois et je fourre ma bouche avide entre ses cuisses levées. Merveilleuse vulve déjà gonflée de désir, délicieuse foufoune déjà humide, délectable cyprine qui se met vite à couler sous mes coups de langue. Du bouton à la belle rosette et inversement, elle rit, glousse de plaisir, mais comme toujours avec discrétion. Clotilde n’a pas l’amour bruyant. Mes doigts rejoignent mes papilles et tous ses orifices humidifiés sont scrupuleusement visités. Et puis soudain, je ne sais pas ce qui me prend, je repense à un porno japonais où l’homme fourrageait furieusement de deux doigts la face avant du vagin, probablement la racine du clitoris ou « point G », faisant ainsi dégouliner la dame de flots de cyprine. Je me mets à en faire autant, doucement d’abord puis de plus en plus fort.
    
    — Eh ! Chéri, mais qu’est-ce que tu me fais ? Non… Chéri, arrête… Oh non… NON ! Ouiiii…
    
    J’en relève la tête. Son « oui » a été dit avec une voix que je ne reconnais pas, grave, rauque, puissante, provenant de son incroyable coffre. Et là, elle me prend un poignet et me plaque la main sur un sein.
    
    — Allez, vas-y mon salaud ! ...
    ... Tu l’auras voulu. Pelote-moi, fais-toi plaisir et ramone-moi la chatte.
    
    Je suis dans « L’exorciste ». Ce n’est pas ma Clotilde qui parle ainsi, surtout pas avec cette voix d’outre-tombe. Elle a le visage dur, des yeux de cheval fou, elle oblige ma main à lui écraser le sein. Je fais quoi ? On verra bien, mais si ça finit en corps à corps, je ne suis pas sûr de gagner avec une telle athlète. Mais pour une fois que je peux enfin lui tripoter les seins, il faut en profiter. J’en gobe un (normal pour un sein-gobe un !), je pelote l’autre en pinçant le téton érigé, sans cesser d’agiter mes doigts dans sa chatte. Elle grogne, rugit, s’agite en tous sens, une vraie furie. Et soudain, un jet sort de sa chatte. Mais quand je dis un jet, ce ne sont pas trois gouttes, c’est comme un robinet qu’on ouvre à fond un bref instant, un jet libre, désordonné qui éclabousse tout. Vache ! Jamais vu ça…
    
    Et ce n’est pas fini. Nouveau rugissement. Elle saute de la table, me saisit la queue et se retourne.
    
    — Encule-moi ! Défonce-moi le cul ! Et n’arrête pas de me peloter. Allez, plus fort ! Vas-y mon salaud…
    
    Et toujours, cette voix rauque et grave qui résonne dans sa poitrine collée contre la mienne. Je fais ce qu’elle ordonne, je lui bourre le cul de toutes mes forces en lui pétrissant les nichons et triturant ses tétons. C’est elle-même qui s’occupe de son clitoris avec une violence inouïe, le frottant énergiquement et le claquant violemment. Raide dingue, ma petite chérie ! Le résultat ...
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