1. Mes deux seins malgré elle


    Datte: 05/10/2021, Catégories: fh, voisins, grosseins, groscul, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... rentre en maison de retraite. Et ce loyer de 800 € c’était autant que ma pension. Mais ils me demandent 2 400 par mois, donc j’ai calculé qu’en vendant j’aurais de quoi assurer pour au moins quinze ans. Désolé pour les locataires, mais faut bien que je pense à moi aussi…
    — Vous ne l’avez pas mis en agence ?
    —Pas encore, j’attends leur réponse officielle par recommandé.
    — Bon, eh bien, ne le faites pas, je crois que vous avez un acquéreur.
    
    L’affaire s’engage plutôt bien : la banque est d’accord, celle des voisins aussi. Comme leur appartement est strictement identique à celui de Clotilde, on empile tous ses meubles chez moi provisoirement et le voisin peut récupérer son parquet flottant et le réinstaller tel quel. De notre côté, nous sondons les murs. Impossible de toucher aux murs porteurs en béton banché, mais nous découvrons que les petites pièces de l’entrée, qui servent de dressing chez moi et d’atelier de bricolage chez mes voisins, ne sont séparées que par du placo. Nous décidons de faire sauter cette cloison et de réunir les deux appartements par ce sas. Clotilde adorant mon carrelage décide de tout carreler à l’identique. Après deux mois de travaux, l’effet est saisissant. Nous avons pris des risques, parce que nous avons fait les travaux pendant le temps que les banques ont mis à débloquer les fonds, mais sans regret, tout s’est bien passé. Nous voilà donc dans un super appartement de 180 mètres carrés, vue sur mer. Une fortune ! Et surtout un espace de vie ...
    ... hyper agréable, même si l’aménagement n’est pas facile : deux toilettes, deux salles de bain pour quatre chambres, c’est parfait ; mais deux cuisines… On en démonte une en camouflant les servitudes et on la transforme en bureau. Pas si mal. Côté cuisine, on fait une grande salle à manger, et un grand salon de l’autre.
    
    C’est fou ce que le changement du lieu de vie peut influer sur le comportement. D’abord, la vue sur mer permanente enchante Clotilde qui est plus gaie que jamais. Je la sens heureuse, pleinement satisfaite, et l’absence de vis-à-vis proche l’incite à se balader très fréquemment en costume d’Ève en cette fin d’été encore chaude. Ça me ravit et me procure de fréquentes érections qui se finissent toujours bien. Le revers de la médaille, c’est qu’elle promène sous mon nez cette insolente paire d’obus à laquelle je n’ai toujours pas accès. Insupportable frustration, j’en fais presque une fixation. Pourtant je remarque bien qu’elle aime effleurer mon torse ou mon dos de ses pointes dressées lors de nos jeux sensuels et qu’elle semble y trouver un certain plaisir. Mais c’est toujours « pas touche ».
    
    C’est elle qui fait la cuisine aujourd’hui. Pour poêler les premières noix de Saint-Jacques de la saison, elle a enfilé un petit tablier, mais juste un tablier. Le nœud du vêtement minimaliste repose gracieusement sur son séant, d’autant plus saillant qu’elle porte de hautes mules à talons. C’est affolant d’érotisme et elle le sait bien, la coquine. Mais elle se défend ...
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