1. Mes deux seins malgré elle


    Datte: 05/10/2021, Catégories: fh, voisins, grosseins, groscul, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ne se fait pas attendre. Un nouveau jet jaillit d’entre ses cuisses écartées, puis un autre encore un instant plus tard. Ses jambes se mettent à trembler, à flageoler, son corps couvert de sueur commence à glisser le long du mien, je ne peux pas la retenir juste avec ma queue dans son cul et ses seins dans mes mains, je l’accompagne jusqu’au sol. Elle est secouée de sursauts désordonnés, mais je finis tout de même de lui pilonner le fion, comme demandé. Elle crie de sa voix retrouvée quand mon sperme jaillit dans son ventre et elle se laisse tomber sur le côté, inerte.
    
    Elle a peut-être craché l’équivalent de trois verres d’eau, mais trois verres d’eau sur le carrelage d’une cuisine, ça fait une sacrée flaque. Je patauge hébété, la queue en décompression, elle est toujours inerte. Je lui parle, je lui caresse la joue, elle marmonne, mais je ne comprends rien. Alors je décide de la transporter jusqu’au lit. Mais un corps de soixante-dix kilos inerte, c’est une sacrée charge. J’essaye de me souvenir des exercices de secourisme de mon service militaire. Je la prends sous les bras pour la hisser sur une chaise d’abord, en poussant sur mes cuisses et pas sur mon dos. Puis je m’accroupis devant elle, passe un de ses bras par-dessus mes épaules et attrape une jambe de l’autre main. Corps chargé, extension laborieuse des cuisses qui en vibrent, surtout en venant de baiser. Dix mètres jusqu’au lit, paquet déposé. Je l’essuie, je la couvre, je la couve. Elle dort trois heures de ...
    ... rang, paisiblement. J’ai le temps de passer la serpillière dans la cuisine. C’est drôle, ce liquide est incolore et inodore, pas de la cyprine, pas de l’urine, on dirait de l’eau.
    
    Mine de rien, je suis inquiet devant cette sorte de catalepsie. Le toubib c’est elle, pas moi. Enfin, elle émerge vers seize heures trente, lentement, hébétée et pâteuse.
    
    — J’ai froid, j’suis naze. Tu veux bien me faire un café ?
    — Bien sûr, j’y cours…
    — Attends ! Dans ma mallette tu trouveras de la vitamine C.
    — Ok, j’y vais.
    
    Vitamine C, deux comprimés, grand café serré, elle sort peu à peu de sa torpeur.
    
    — Putain, j’étais inquiet, savais pas quoi faire.
    — Tu as fait tout bien, tu m’as amenée au lit.
    — Oh oui, j’en ai bavé. Pas facile de porter un corps inerte. Je ne t’ai pas fait mal ?
    — Non, je ne sens rien. Tu vois comme elle est grosse et lourde la bête ? Et tu vois aussi ce que ça fait. Quand je dis « pas les seins », il ne faut vraiment pas y toucher.
    — Mais je ne te touchais pas les seins, j’avais les doigts dans ta chatte. C’est toi qui m’as mis la main sur tes seins.
    — Ah oui, ça y est, je me souviens maintenant. Oui, je ne sais pas ce que tu me faisais, mais ça m’a fait partir. Et les seins sont indispensables dans cette folie. Vraiment, je n’y comprends rien…
    — Et après, tu te souviens ? Ta grosse voix, ta folie furieuse, tes giclées de liquide ?
    — Non, là je ne me souviens pas, de rien. Et c’est bien de ça que j’ai horreur : perdre le contrôle, plus de pilote dans ...
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