Méprise
Datte: 02/10/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
jalousie,
caresses,
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... culotte. Elle murmure :
— Tu fais quoi là…
— J’ai envie de te faire jouir, ma chérie… Je veux t’entendre jouir, prendre du plaisir, te laisser complètement aller…
Elle ne répond rien, mais je sens qu’elle se raidit un peu. Délicatement, mes doigts jouent avec sa fine toison légèrement bouclée, caressant son pubis bombé. Mes lèvres parcourent toujours son cou, mon autre main câline son sein et son téton. Comme rassurée, elle se laisse un peu aller…
Mes doigts dénichent facilement l’orée d’une fente mouillée ainsi qu’un petit bouton protubérant. À moi de savoir en jouer comme il se doit pour qu’Anita jouisse contre moi. J’ai une folle envie de l’entendre gémir, de l’entendre crier son plaisir !
Déjà ma compagne se tortille légèrement sous ma caresse insidieuse. Sa respiration devient plus saccadée, sa poitrine se soulevant fortement. On dirait bien que ça lui fait beaucoup d’effet alors que je viens juste de commencer. C’est la première fois que je m’aventure en ces lieux très intimes, dans ce petit bosquet qui me semble taillé et ces lèvres un peu épaisses, mais fort avenantes.
Mes doigts sont couverts de cyprine, ce qui m’excite beaucoup, mais certainement pas autant qu’Anita qui ondule autour d’eux. Les yeux fermés, la bouche béante, elle se laisse faire… elle me laisse faire afin qu’une vague de plaisir monte en elle pour venir ensuite la submerger.
— Aah… aah…
Excité à mort par ses petits gémissements, je presse son sein entre mes doigts voraces, ...
... tout en mordillant son cou. Je ne me savais pas si impératif et rapace ! Mais je sais depuis bien des jours que cette femme est différente des autres, que j’ai envie à la fois de la respecter et aussi de la posséder sans limites.
— Aah oui ! Ooh oui ! Rentre tes doigts ! Vite !
Je ne me fais pas prier d’exaucer son ordre. Aussitôt, elle explose en mille cris, se laissant totalement submerger par une puissante jouissance qui irradie en elle et qui affecte tous les moindres recoins de son corps électrisé !
Soudain, une torpeur étrange s’abat sur moi, comme si je partageais la petite mort de mon amante. Je cligne des yeux, j’essaye de surmonter cet engourdissement, mais rien n’y fait, je me sens irrésistiblement entraîné vers le fond, dans des ténèbres moites et chaudes…
Dans des ténèbres moites et chaudes dans lesquelles il est si bon de mourir, de disparaître…
De s’anéantir sans laisser de trace…
Aucune trace…
Nous sommes allongés sur le lit, nous reposant de notre flirt poussé. Nous avons repris nos esprits, elle comme moi. Anita était toute rouge quand elle a ouvert un œil. Je l’ai alors serrée contre moi pour la dorloter. Elle s’est laissé faire, me caressant timidement à son tour.
À présent, je parle de tout et de rien. Mais je sens au fond de moi que cette femme va beaucoup compter pour moi. J’essaye même d’envisager l’avenir avec Anita, même si elle vit toujours avec son compagnon, ce fichu Thierry.
— Au fait, ma chérie… si toi et moi, on se met ...