Méprise - Histoires de Sexe

Méprise

... Si nous n’essayons pas, nous ne le saurons pas…

Je l’attire contre moi, puis je l’embrasse. Anita n’oppose pas de résistance, je dirais même que son corps coule contre le mien, même si elle reste assez passive. Néanmoins, je me dis que c’est un bon commencement.

Après ce très bon commencement, Anita et moi, nous nous sommes énormément rapprochés. Je ne compte plus les fois où je me suis fait un plaisir de l’embrasser dans mon bureau ou ailleurs, comme, par exemple, dans le petit appartement que je loue depuis ma séparation. Petit à petit, je monte le curseur afin de ne pas trop l’effaroucher, mais afin aussi d’arriver à mes fins, car je désire fortement cette femme. Maintenant, je pense qu’Anita se doute bien qu’entre elle et moi, ce n’est pas une simple passade.

C’est justement dans ce nouvel appartement que nous sommes aujourd’hui. Pour l’instant, je n’ai toujours pas couché avec Anita, même si nous nous sommes aventurés assez loin dans le flirt, nous avons dépassé le stade des gentils baisers. Les nôtres sont devenus plus brûlants et voraces.

Debout, plaqué contre son dos dénudé, un soutien-gorge posé sur le lit, je capture avidement ses deux mignons seins. Tandis que je les soupèse, que je les malaxe délicatement, je murmure :

— Quand je pense que c’est à une méprise que je dois ces prises… mes prises à moi…
— Hein ? Tu racontes quoi ?
— Ne fais pas attention, ma douce, je pensais tout haut…

Buste dénudé, mais toujours en jupe, Anita se laisse ...

... aller contre moi, tandis que je l’embrasse dans le cou. Elle soupire, montrant qu’elle aime visiblement ce genre de traitement. Je murmure à nouveau :

— Tu aimes ?
— Hmm-hmm…
— Dans ce cas, n’hésite pas à le dire et à en redemander…
— Ce… ce n’est pas trop dans mon caractère, tu sais…
— Dans ce cas, fais-moi un signe… Ce n’est pas toujours facile de deviner ce que tu penses réellement.
— Désolée, mais je suis comme ça…

Je continue de malaxer ses mignons petits seins :

— Je sais… il faut parfois donner un petit coup de pouce…
— Voilà… on va le dire comme ça… J’aime quand un homme prend des initiatives, mais pas trop. Et toi, tu sembles réussir à toujours trouver le juste milieu !
— Merci du compliment, mais tu es trop tentante, tu sais…
— Si tu le dis…

Tout en l’embrassant dans le cou, je continue à jouer avec ses seins, puis avec ses tétons érigés. Doucement, Anita commence à onduler, se laissant aller. Puis elle se frotte sur la bosse de mon pantalon, me faisant bien sentir l’arrondi de ses fesses malgré l’épaisseur des tissus. Si elle continue ainsi, je vais finir par éjaculer dans mon caleçon !

Délaissant un sein, ma main descend caresser son ventre. Anita ne cesse pas son ondulation, appréciant mes cajoleries. Comme la plupart des femmes, elle aime se sentir désirée, et bien sûr les préliminaires qui vont avec la lente montée du plaisir.

Puis ma main descend encore plus bas, elle se glisse sous sa jupe, mes ongles effleurant l’ourlet de sa petite ...