Méprise - Histoires de Sexe

Méprise

... ensemble, tu voudrais avoir combien d’enfants ? Perso, j’opte pour le choix du roi.

À ma grande surprise, son visage passe par trois étapes : l’étonnement, la joie puis la tristesse. J’avoue que je ne comprends pas, alors je demande :

— Il y a un problème ?
— Tu es sérieux, ou c’est juste pour causer ?
— Si toi et moi formons un couple, alors la question des enfants se posera tôt ou tard. Mais ça ne signifie pas que j’en veux tout de suite.

Elle continue de me regarder avec des grands yeux :

— Tu… tu veux vraiment que toi et moi… on…
— J’envisage sérieusement que toi et moi vivions ensemble. Je ne t’ai jamais considérée comme une passade, ma chérie.
— Mais on n’a même pas vraiment fait l’amour ensemble !
— S’il n’y a que ça comme obstacle, je suis disposé à résoudre ce problème tout de suite !

Elle sourit faiblement. Elle hésite, puis finit par dire :

— Je… je n’ai jamais réussi à avoir des enfants… je crois que je suis stérile…
— Tu crois ou tu en es certaine ? Tu as fait des exams ?
— Je n’ai pas fait d’exams, mais avec Thierry, on a mis plusieurs fois le paquet, si tu vois ce que je veux dire.
— Ça vient peut-être de lui ?
— Ah non… il a eu un gosse avec une ex, et le gamin lui ressemble comme deux gouttes d’eau.

Je ne réponds rien. Elle continue :

— Désolée, mais je crois que je ne pourrais pas t’aider dans ton rêve d’avoir le choix du roi.
— Pas grave ! Si tu es d’accord, on adoptera le moment venu.
— Tu… tu ne m’en veux pas ...

... ?

Décidément, Anita me surprendra toujours !

— Mais non, grosse bêta ! Comme si je pouvais t’en vouloir ? Je t’aime, tu m’aimes, c’est déjà extraordinaire que nous nous soyons trouvés, tu ne crois pas ?

Elle se jette dans mes bras, une très belle réponse muette…

Quelques semaines plus tard, nous sommes tous les deux, Anita et moi, dans la chambre de mon nouvel appartement. Allongée sur le ventre dans le lit complètement froissé, fesses à l’air, essoufflée, échevelée, ma compagne s’exclame :

— Eh bé, toi ! Faut pas t’en promettre ! Je n’étais pas une grande sportive, mais depuis quelque temps, avec toi, j’ai l’impression de courir le marathon !

Je caresse amoureusement les rondeurs de son mignon popotin :

— Moi, j’aime bien ce genre de marathon !
— T’es increvable ou quoi ?
— Avec toi, je me sens invincible !

Elle se lamente faussement :

— Pourquoi suis-je tombée sur Superman ? C’est bien ma veine !
— Ose me dire que tu n’aimes pas, ma princesse !
— J’ai pas dit ça, mais tu m’épuises !

Passant outre, je dépose des tas de petits baisers brûlants sur ses fesses. La tête sur l’oreiller, Anita se laisse faire. Puis je m’enhardis de plus en plus. De plus en plus…

J’adore ses petites fesses bien rondouillettes à bisouter, à câliner, à lécher et plein d’autres choses encore. Je n’ai pas encore osé aller taquiner sa rondelle avec la pointe de ma langue, mais j’y viendrai un jour. Comme je viendrai un jour m’enfoncer avec délectation dans son obscur petit trou ...