1. Aphasie


    Datte: 30/09/2021, Catégories: fh, fplusag, couple, médical, Collègues / Travail amour, pénétratio, fsodo, init, initiatiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... de m’étaler de nouveau. Je ne suis pas prêt à reprendre le hand-ball, sport où j’excellais dans le club du lycée. Quelques pas dans la chambre, quelques-uns dans le couloir, suivi par un portemanteau à roulettes avec ma poche de perfusion. Et puis elles me ramènent, direction la salle de bains. Elles me déshabillent, ce qui est vite fait quand on n’a qu’un nœud à défaire derrière le cou. Elles m’assoient dans la douche sur un siège de plastique. La petite brunette a l’air contrit de quelqu’un qui a fait une grosse boulette. Elle prend bien la température de l’eau et m’asperge délicatement.
    
    — Ça va ?
    
    Je hoche la tête. La plus vieille, Miss « bacchantes », est en train de refaire le lit. Du coup, elle me parle à voix basse.
    
    — Désolée pour hier, je ne savais pas…
    
    Que veux-tu répondre à ça, sinon rien. C’est en ne disant plus rien que je constate que les conversations sont inutiles les trois quarts du temps. Elle me mouille partout sauf la tête, prend du gel et ça commence à mousser. Ce serait agréable sans ces gants de latex. L’autre passe la tête :
    
    — Ça ira Claudine ?
    — T’inquiète pas. Je prends mon temps et je le bichonne.
    — Et pour le pansement ?
    — Pas de problème, je m’en débrouille.
    — Et pas de conneries, hein ?
    — Non, promis. Je me suis excusée. Va faire les suivants.
    
    La grosse s’en va, la brunette ferme la porte coulissante et revient me frotter. C’est rudement agréable de prendre une douche, lavé par une nana. Surtout là. Hummm… ça y est je ...
    ... bande.
    
    — Eh ! Mais tu apprécies, on dirait… Attends…
    
    Elle va vérifier qu’il n’y a personne dans la chambre, pas d’alerte dans le couloir, elle bloque le loquet de la porte avec son passe en plaçant l’écriteau « En soins » sur la poignée. Je la regarde faire, petite bonne femme très vive et qui doit avoir une idée derrière la tête. En effet, elle revient, coulisse la porte, pose son gant et reprend où elle s’était arrêtée.
    
    — Faut bien que je me fasse pardonner, dit-elle sur un ton d’excuse en me regardant avec des yeux de teckel.
    
    Ah oui… ça c’est bon ! Délicieux, même. Elle m’astique doucement le manche en pleine dilatation, caresse bien les testicules, remet un peu de gel dans le creux de sa main et commence des va-et-vient très agréables. La coquine a beau être jeune, elle a de la pratique. Quand elle me serre fort la hampe entre quatre doigts et que son pouce va titiller le méat bien congestionné, c’est super bon. Je ferme les yeux et je me laisse aller au plaisir. Et le plaisir ne tarde pas. C’est tellement meilleur que quand on le fait soi-même. Là, impossible d’anticiper le prochain mouvement, c’est toujours une surprise. Et puis il est vrai que je n’ai pas tiré sur le polichinelle depuis un bout de temps. Alors en quelques minutes ça part, longs jets puis gros restes savamment tirés du tuyau par la main experte.
    
    — Vache ! Ben dis donc, y avait du besoin…
    
    Y en a sur le mur, un peu dans ses cheveux, le reste tourbillonne en nuages épais autour de la bonde. Elle ...
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