Aphasie
Datte: 30/09/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
couple,
médical,
Collègues / Travail
amour,
pénétratio,
fsodo,
init,
initiatiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... ses hanches ses fesses pommées. La tête me tourne, je recule un peu pour ne pas perdre l’équilibre, nous voilà dans le couloir, dans la chambre, sur le lit. Je la dévore à pleine bouche : ses yeux, son nez, ses joues, son cou, puis ses seins. Ô ses seins ! Je n’en ai jamais vu de plus gros, de plus drus, de plus beaux. J’ai beau ouvrir grand ma mâchoire, je ne peux en absorber qu’un tiers. Et elle aime ça, s’offre, se tend, se cabre. J’embrasse son ventre plat, puis saisis ma queue et la présente devant sa grotte délicate déjà toute humide. Je plonge dans l’hyper délice, elle m’ouvre grand ses cuisses, je m’agite sur elle comme un fou.
— Holà, holà, mon bel étalon, doucement, s’écrit-elle.
— Excuse-moi, je manque d’expérience…
— Quoi ? Tu veux dire que c’est… la première fois ?
— Oui…
— Oh mais, c’est merveilleux !
Elle nous fait rouler sur le lit, je me retrouve sur le dos, elle empalée sur moi.
— Tu vois, il faut aller doucement mon ange, une femme ça a besoin de douceur et de temps. Laisse-moi faire et laisse-toi faire.
Ah… je me laisse faire, c’est trop bon ! C’est vrai que je prends juste conscience de l’écrin de chair tendre, chaude et humide qui presse délicieusement ma queue de toutes parts. Elle pose ses mains sur ma poitrine et se soulève doucement, puis se laisse redescendre. À chaque fois, une étoile s’allume dans mon crâne éberlué. Elle s’agite ainsi assez lentement, reste parfois descendue complètement et fait des mouvements de bascule avec son ...
... bassin qui me plie délicieusement la tige, tellement rigide et tendue que j’ai la sensation d’étirer son conduit. Elle reprend ses va-et-vient et recommence, et ainsi de suite. Elle accélère et son souffle aussi, ses seins tressautent et je les prends dans mes mains.
— Oui, vas-y, caresse-moi.
Ses mouvements deviennent plus amples, le lit se secoue avec nous, elle joue du rebond et commence à gémir doucement. C’était pas la peine de me dire de faire doucement : je faisais moins fort que ça tout à l’heure, me semble-t-il. Et voilà qu’elle s’emballe, pousse de petits cris, sa tête part en arrière puis en avant. Elle s’écroule sur moi, soulevant toujours ses fesses en cadence, émettant un cri rauque à chaque fois tout près de mon oreille. Puis la voilà qui crie vraiment, boxe le lit et se tétanise comme si elle avait les doigts dans une prise de courant. Encore quelques soubresauts et elle ne bouge plus, ce qui ne fait pas mon affaire, j’aurais bien aimé qu’elle continue un peu jusqu’à me faire éjaculer. Bon, pas grave, je vais me débrouiller tout seul. Il suffit de donner de petits coups de bassin et la bonne sensation revient. Moi aussi je peux prendre la cadence. Ah, mais elle ne l’avait pas prévu. Elle couine.
— Ahhh… Nonnn… Ouiiiii… Oui continue… Ohhhh…
Moi je sens mon plaisir arriver, j’accélère, aussi vite qu’une machine à coudre. Alors elle pousse une sorte de longue plainte, un peu comme un chien qui hurle à la mort. Oh ça vient ! J’arrête, encore deux ou ...