L'ambassade ouest-européenne
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
Oral
Humour
policier,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... l’intéressée avec affectation.
— Mais pas celui-là, putain ! explose Julia en désignant le cadavre du chef des truands. Et toi ? Qu’est-ce qui t’a pris ? ajoute-t-elle à l’attention de Mary en désignant le cadavre resté en travers de l’entrée de la pièce.
— Il me gênait, répond celle-ci avec un sourire, en se débarrassant des deux pistolets-mitrailleurs qu’elle portait encore en bandoulière. Il était devant la porte et il voulait m’empêcher de rentrer.
— Oh merde ! Merde ! Merde ! C’est ça que vous appelez un travail propre ! Regardez !
Elle désigne les impacts de l’ultime rafale de balle le long du mur et jusqu’au plafond.
— Ça aurait vraiment pu mal finir !
Elle se retourne et se rapproche à nouveau des otages, entreprenant de les libérer. Alicia, enjambant les cadavres, sort de la pièce et va rechercher les habits et affaires qu’elle et Julia avaient cachés. Mary sort de son sac son visiophone et appuie quelques touches.
— Salut Jack, fait-elle après quelques secondes dans son appareil.
—Alors ? Comment ça se passe ? entend-on en retour.
— Bien. Ça y est, on…
— Non, hurle Julia, ça se passe pas bien !
— Les otages sont sains et saufs, reprend Mary, mais on ne peut pas en dire autant des ravisseurs…
—Pourquoi ?
— Bah, rien, c’est juste Alicia qu’est passée par là…
— Alicia et Mary ! crie Julia, continuant de détacher les captifs.
— Non, poursuit Mary, moi, j’en ai deux qui dorment devant l’ambassade. Il faudrait passer les récupérer, Jack, et tant que ...
... vous y êtes, envoyez une équipe de nettoyage.
—C’est tout ?
Mary observe Julia un court instant, avant d’ajouter avec un sourire :
— Non, passez acheter des fringues pour Julia, elle est encore à poil !
Elle raccroche puis range son visiophone. Alicia, habillée, revient justement avec les affaires de Julia qu’elle pose sur une des chaises de la pièce, avant d’aller s’asseoir sur une autre et de sortir une cigarette. Les otages, presque tous libérés, mais encore craintifs n’osent pas bouger. Tandis que Julia est en train de détacher le dernier, le jeune homme, l’ambassadeur prend la parole :
— Mesdemoiselles, sachez que nous vous serons éternellement reconnaissants de ce que vous avez…
— Mais je rêve ! s’exclame Julia, l’interrompant. Il a la gaule !
Mi-rageuse mi-amusée, elle observe la bosse indéniable qui se devine au niveau de l’entrejambe du jeune homme qu’elle est en train de libérer.
— Oh, Étienne ! Un peu de tenue ! vocifère au jeune homme la femme de l’ambassadeur.
— Mais, c’est… c’est nerveux, maman ! balbutie-t-il.
— Bah, c’est rien, laissez, j’ai l’habitude… dit finalement Julia en achevant de le détacher et en le massant avec vigueur à l’endroit de la bosse.
L’ambassadeur s’approche d’Alicia, occupée à fumer.
— Je ne vous en veux absolument pas d’avoir tiré, mademoiselle. Merci de nous avoir débarrassés de ces gredins.
— Mais qu’est-ce qu’ils voulaient au juste ? lui demande Julia, sans cesser de masturber son fils au travers du tissu ...