L'ambassade ouest-européenne - Histoires de Sexe

L'ambassade ouest-européenne

... l’un en déboutonnant son pantalon.
— Ne me touchez pas ! dit sèchement Alicia en reculant d’un pas, tandis que l’un des gangsters s’avance vers elle, la menaçant de son arme.
— Non ! S’il vous plaît ! Ne leur faites pas de mal ! implore l’ambassadeur.
— Attendez ! interrompt le chef des malfaiteurs.

Ses hommes s’immobilisent et l’observent, attendant un contre-ordre.

— Vous me laissez la rousse… lâche-t-il enfin.
— Non ! gémit le vieil homme. Pas ma petite fille !
— En attendant que nos gouvernements s’entendent, monsieur l’ambassadeur, je vais me détendre un peu avec ta charmante fille…

Il attrape Julia par le bras qui résiste jusqu’à ce qu’il lui braque son arme sur le visage et lui ordonne :

— J’aimerais bien une petite pipe, ma chérie !
— Non ! Je vous en prie…
— Si tu es bien sage, tu pourras t’en aller, après… assure l’homme en la forçant à s’agenouiller. Et si tu hésites encore, pense à ton pauvre papa…

Les deux autres hommes rigolent lourdement tandis que Julia, finalement agenouillée, ouvre avec une feinte maladresse le pantalon de l’homme et en extrait en se forçant à trembloter son sexe durcissant. Elle y referme finalement ses lèvres, regardant avec un mélange de candeur et de frayeur l’homme qu’elle comble de ses caresses faussement imposées.

— Regardez-moi ça ! On dirait qu’elle n’attendait que ça !

Les deux autres hommes cagoulés regardent un instant, puis se retournent vers Alicia, que l’un des deux braque toujours.

— Nous on ...

... va se détendre un peu avec celle-ci !

Affichant une grimace de dégoût et de peur, elle recule jusqu’à être dos au mur.

— Ne m’approchez pas !

Elle a toujours le vibromasseur, qu’elle tient fermement de ses deux mains contre sa poitrine.

— Lâche ça, fillette, tu vas voir, c’est mieux avec des vraies.

L’un des deux baisse son pantalon et en sort son sexe durcissant, en continuant de s’approcher d’elle. Elle pointe vers lui son arme déguisée, et sans la moindre sommation, pressant fort sur les faux testicules, lui tire une balle en plein ventre. Tous dans la pièce sursautent. L’homme s’écroule en hurlant dans une mare de sang. L’autre homme réagit au quart de seconde et ajuste son arme en direction d’Alicia, mais il n’a pas le temps de l’utiliser ; elle l’abat également d’un deuxième coup de feu de son vibromasseur factice. Le dernier gangster relève alors immédiatement son pistolet-mitrailleur, visant Alicia.

— Putain, Aliss’, tu fais chier ! hurle Julia, s’arrêtant tout net de le sucer. On avait dit pas de merdouille comme ça !

Elle le tient néanmoins toujours très fermement à la base du sexe, l’empêchant de se dégager. Il se ravise et pointe le canon de son arme vers Julia. Alicia, tremblotante, s’approche lentement de l’homme, tenant braquée sur lui son arme. Il hésite une seconde, regardant tour à tour les deux jeunes femmes, puis essaie encore une fois de se dégager d’une vive secousse, mais pousse un hurlement tandis que Julia le retient par son sexe, ...