1. L'ambassade ouest-européenne


    Datte: 28/07/2018, Catégories: fh, ff, fhh, Oral Humour policier, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... sonnerie se fait entendre.
    
    — C’est le tien, ou c’est le mien ? demande l’un des deux, en regardant l’autre.
    — Attends… je crois que c’est le mien.
    
    Il fouille dans sa poche et sort son talkie, tandis que, sans cesser de sucer et de branler, Mary, repositionne avec le pouce les deux grosses bagues de sa main libre.
    
    — Ouais ? … Non, personne n’est entré. … Okay.
    
    Il raccroche et range son appareil, puis presse la tête de Mary contre son sexe. Celle-ci passe doucement sa main en dessous du sexe tendu qu’elle suce et le pique de sa bague juste en dessous du gland, au niveau du frein.
    
    — Aïe ! Mais putain, fais gaffe, tu m’as mordu ou quoi, salope !
    — Éhohée, hahon, fait-elle, la bouche pleine.
    
    Puis elle se met à sucer l’autre sexe et répète la même opération, le piquant doucement à son tour.
    
    — Ouaïe ! crie à son tour l’autre garde en se dégageant vivement. Mais c’était quoi, ça ?
    — Fais gaffe, je crois que… commence le premier, en chancelant.
    
    Il s’effondre soudain littéralement. L’autre relève son arme et la pointe en direction de Mary, qui, toujours agenouillée, tend une main sur le côté en criant :
    
    — Non, arrêtez, je n’ai rien fait, c’est pas moi… C’est eux là-bas !
    
    L’homme se retourne en titubant, cherchant un hypothétique ennemi, puis abaisse son arme pour tenter de sortir son talkie. Mais voyant qu’il va défaillir, il se retourne et braque à nouveau la jeune femme, mais s’effondre à son tour avant d’avoir pu faire quoi que ce soit d’autre. ...
    ... Mary se relève et, avisant les deux corps étendus dont les sexes dépassent, s’exclame :
    
    — C’est très digne…
    
    Elle les fouille ensuite brièvement et s’empare de leurs pistolets-mitrailleurs, qu’elle passe en bandoulière autour de son cou, et de leurs deux émetteurs. Ne sachant où les mettre, elle dévêt l’un des deux de sa veste épaisse et l’enfile, puis range les appareils dans une des poches. Elle traîne ensuite péniblement les corps sur le côté de la cour, dans l’ombre du bâtiment, afin qu’ils ne soient pas visibles depuis la rue.
    
    — C’est la deuxième fois en une heure que je suis obligée d’abandonner deux bites ! Ça devient pénible, ce métier…
    
    Puis elle se dirige vers la porte que gardaient les deux hommes et entre à son tour dans l’ambassade.
    
    — Bon, vous me rappelez s’il y a quelque chose, fait l’homme cagoulé, avant de raccrocher puis de ranger son émetteur.
    
    Le garde qui a amené Julia et Alicia se tourne vers cette dernière et commente tristement :
    
    — Et puis toi aussi, t’as l’air bonne ! Si c’est pas malheureux de finir lesbiennes quand on est roulées comme ça…
    — Toi, t’arrêtes de te faire du mal et tu retournes monter la garde devant la porte ! lui ordonne l’homme qui semble être le chef.
    
    Le garde sort avec un dernier regard sur les seins d’Alicia et sur les fesses de Julia.
    
    — Et vous, vous vous occupez de ces deux salopes !
    
    Les deux autres hommes cagoulés s’approchent chacun d’une des deux jeunes femmes.
    
    — Oui, on va s’occuper d’elles… dit ...
«1...345...8»