Joyeuses ténèbres (Fin de la série)
Datte: 16/07/2018,
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Partouze / Groupe
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Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... hier ?
— Non, écoutez-nous. Des copines ne vont pas tarder à se mettre en route. Elles sont arrivées hier soir. L’une d’elles est à Henri IV avec moi, les autres font Sciences-Po avec Henri-Pierre. On les a un peu draguées, naturellement, mais elles nous ont jetés. Elles sont coincées, vous pouvez pas savoir. D’anciennes cheftaines, elles aussi. Christelle est fille de général, le père de Stéphanie a été ministre. Vous vous en foutez ?
— Complètement !
— D’accord. N’empêche que si elles nous voient avec vous, on a peut-être une chance…
Votre plan nous amuse, mousquetaires ! Allons dans ce petit bois de pins, laissez tomber votre sac, appuyez votre dos contre l’un de ces troncs d’arbre. Vous voulez que nous posions nos têtes folles sur vos cuisses poilues, Gaétan et Sigisbert ? Mais pourquoi pas ! Vos shorts n’ont pas été lavés, ils sentent la sueur. Espérons que vous avez mis des slips propres et que vous avez pris une douche, ce matin.
Un écureuil nous lance une noisette, nous redécouvrons la loi de l’attraction universelle d’un sexe pour l’autre. Glissez vos mains dans l’échancrure de nos chemisettes, nous ne protesterons pas. Enlevez vos shorts, dessous vous avez vos slips de bain car vous comptez patauger bientôt dans quelque ruisseau. Mais si vous vous débarrassiez d’abord de vos chaussures et chaussettes, vous seriez moins ridicules…
Que descendent vos paluches dégrafer nos jupettes ! Ah, les deux futurs énarques vous ont gagné de vitesse, leurs mains sont ...
... alertes et leurs bouches voraces, nos slips ont disparu comme par enchantement ! Nous avions un homme en partage tout à l’heure, et maintenant en voici quatre qui veulent nous partager ! Nous nous rendons, beaux militaires, le bois de pins va en voir de belles…
— …Elles arrivent !
Quatre silhouettes se dessinent en effet au sommet de la colline, récupérez vos mains et vos lèvres, devisons agréablement mais nous garderons la tête sur vos cuisses, pour exciter ces demoiselles.
— Arthur, cache nos slips sous cette grosse pierre. Ou plutôt non, n’y touche pas.
Une Isabelle est blonde et revêche, bien en chair. Stéphanie a les yeux noirs et de vilains genoux. Audrey paraît douce ; si j’en avais le loisir, je vérifierais si les rousses ont une odeur particulière, comme d’aucuns le prétendent. Christelle est de très mauvaise humeur mais ce n’est pas parce que son papa général a perdu ses guêtres et ses guerres.
— Sophie et Laure sont des filles que nous avons rencontrées hier.
Plantées là, godiches, les pèlerines ! Manifestement, Christelle n’aime pas, mais alors pas du tout, que j’aie la tête sur les cuisses de Gaétan. Sois tranquille, je te céderai la place dès que je serai sûre que tu l’occuperas, fillette !
Elles hésitent. Si elles ne posent pas les sacs à terre, tout est raté. Enfin, pour elles plus que pour nous, elles doivent bien s’en douter. Que font ces garçons, pensent-elles manifestement, avec ces deux vieilles dévergondées à moitié à poil ! En voilà ...