1. Joyeuses ténèbres (Fin de la série)


    Datte: 16/07/2018, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, grp, fplusag, jeunes, extracon, copains, forêt, campagne, fête, amour, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe aliments, glaçon, journal, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... en grande douceur en face du visage, je me glisse de l’autre côté. L’homme murmure mon prénom, ce qui fait rire Laure, qui avance les lèvres. Mais oui, Christophe, c’est une bouche de femme, celle de Laure ou celle de Sophie, qu’importe ! Il est maintenant allongé sur le dos, Laure presque juchée sur lui, leurs lèvres ne se sont pas séparées.
    
    Mais voici qu’il la repousse !
    
    — Où est Sophie ?
    — Je suis ici, Christophe.
    — Mais pourquoi…
    — Pourquoi Laure est avec nous ? Parce que je lui ai demandé de venir, tu lui plais bien.
    — Mais c’est toi que je veux, Sophie, rien que toi.
    — Bien sûr. Regarde cependant comme elle est jolie, Laure… Elle te fait bien bander, quand même ! Non ? C’est moi ? … Laure, saute par-dessus cet olibrius et viens m’embrasser.
    
    Naturellement, il la serre alors dans ses bras, afin de la garder pour lui. Frédéric se morfond quelque part, si j’allais le rejoindre ? Mais Christophe veille au grain, sa main quitte le dos de Laure et me retient, harpon sur ma hanche gauche.
    
    Laure chevauche très vite ce corps que nous allons nous partager. La verge absorbée jusqu’à la garde, ses nymphes s’écrasent sur les poils durcis par ma cyprine séchée. Je vais me contenter des lèvres et de la langue et nous voici donc face à face, Laure et moi, nos doigts inévitablement attirés par les pointes de nos seins. C’est à celle qui pincera le plus fort !
    
    La langue de Christophe n’a aucune peine à titiller mon clitoris. Je me penche un peu, afin que ses lèvres ...
    ... puissent l’enserrer et, un peu plus tard, sa langue errer dans une vallée de feuilles de roses…
    
    J’ai lâché les tétons de Laure, elle me faisait trop mal. Elle triomphe ! L’ami Christophe jouit et nous le fait savoir en grognant comme un fauve. Il lui est loisible de s’abreuver, c’est l’heure où les lions vont boire. Pour moi la salive de Laure a le goût du miel.
    
    Il est bon de paresser ensuite en faisant voyager nos mains et nos lèvres. Le mâle est flapi pour un temps, nous jouons avec son attirail, il nous lèche un peu.
    
    — Debout ! Toilette, en vitesse ! Laure, tu me rejoins en bas dans un quart d’heure ! Christophe, quartier libre jusqu’à midi, tu files dans ta chambre !
    
    Pimpantes, les deux filles, peu après ! Ah, la vie a du bon.
    
    — Laure, trouve la pierre blanche du clocher de l’église !
    — Une pierre blanche ? Pourquoi ?
    — Elle donne la direction de Saint-Jacques.
    — Tu veux retrouver nos pèlerins ?
    
    Mais oui, et c’était bien vu, car les voilà qui nous rattrapent, sac au dos, godillots aux pieds, alors que nous flânons sur l’antique voie romaine.
    
    — On n’avait pas envie de partir. On voulait vous revoir. Cette nuit, on a même un peu exploré votre gîte. Toutes les portes des chambres étaient fermées, mais vous n’aviez pas l’air de vous ennuyer, là-dedans ! À propos, nous avons acheté des préservatifs… Qu’est-ce qui vous fait rire ? N’allez pas croire… Mais enfin, arrêtez de rire comme des malades ! On a besoin de vous.
    — Pour un petit coup de mains, comme ...
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