1. Val Thorens


    Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, jeunes, vacances, sport, froid, amour, Oral pénétratio, Auteur: Damien X, Source: Revebebe

    ... lèvres puis s’est frayé un passage dans ses chairs intimes. Un délice.
    
    Je l’ai pénétrée lentement avec de petits va-et-vient de plus en plus profonds, tellement je voulais profiter de cet instant magique. Son vagin était une merveille, glissant, brûlant, doux et ferme à la fois, délicieusement serré. Une fois abuté à fond, je me suis penché pour l’embrasser, et en appui sur les coudes j’ai commencé des mouvements plus amples.
    
    N’aimant pas les filles faciles, les (rares) demoiselles que j’avais jusque-là mises dans mon lit étaient du genre coincées et plutôt passives. Je fus délicieusement surpris quand Sandy se mit à onduler du bassin en accompagnant mes mouvements. Les cuisses bien écartées, elle allait au-devant de mon sexe ; elle semblait vouloir l’aspirer. C’était si bon que l’ai laissée mener la danse.
    
    — Tu n’aimes pas quand je bouge ? se méprit-elle.
    — J’adore.
    — Les autres filles ne font pas l’amour comme ça ?
    
    Que dire ? Avouer que l’été dernier j’étais avec une fille que j’essayais désespérément de faire jouir sans jamais y arriver ? Je n’ai pas répondu. Je me suis penché vers elle pour l’embrasser. Elle a croché ses mains sur mes épaules et nous avons repris notre danse. En appui sur les coudes, je me suis mis à bénir cette précédente petite amie qui – par la force des choses – m’avait appris à me maîtriser. Au bout d’un bref moment, Sandy se mit à gémir. Ses mouvements se firent endiablés, comme si ses fesses étaient en contact avec une plaque ...
    ... brûlante. Quelques secondes plus tard, elle poussa un cri étouffé et je sentis des contractions parcourir son vagin. Elle jouissait déjà. Je me suis mordu la lèvre jusqu’au sang pour ne pas l’accompagner. Pas question d’abréger. C’était trop bon d’être en elle.
    
    Après un instant de répit, c’est moi qui ai repris les mouvements. Ses grands yeux bleus me regardaient amoureusement, ses bras me serraient très fort comme pour m’empêcher de me retirer. Pour la première fois de ma vie, j’ai senti que je ne faisais qu’un avec une fille, physiquement et mentalement. Une pensée me traversa l’esprit :« C’est la femme de ma vie ! », pensée que je rejetai aussitôt.« Ridicule… Une Anglaise, fiancée à un autre, qui s’en va ce soir. Je me fais du cinéma. »
    
    — Plus vite. Tu vas me faire repartir, me glissa-t-elle dans l’oreille, mettant un terme à mes réflexions métaphysiques.
    
    Je me suis aussitôt plié à son désir et elle se remit à gémir. Elle remonta ses cuisses au maximum et referma ses jambes sur mon dos. Ma verge s’est enfoncée en elle encore plus profondément. Me sentant venir, je l’ai pistonnée furieusement, cognant sur son pubis, écrasant son clitoris à chaque coup de bassin et j’ai éjaculé sur sa matrice en longues giclées. Cela lui fit un effet terrible.
    
    — Oh, my God ! Yes ! Yeeeeesssss…
    
    Cette fois, c’est un vrai cri d’animal qu’elle poussa en me plantant ses ongles dans le dos. Je venais de la faire repartir très haut. Son ventre était ravagé de spasmes qui ressemblaient à des ...
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