Val Thorens - Histoires de Sexe

Val Thorens

... décharges électriques. Puis tout se calma. Assez fier de moi, je l’ai couverte de baisers pendant qu’elle reprenait ses esprits et je me suis retiré pour m’allonger à ses côtés.

— C’était bien ? ironisai-je.
— Amazing ! me répondit-elle. Plus fort qu’avec Chris ! Comment tu expliques ?

Encore une question à la noix. Pourquoi lui avais-je fait tant d’effet ? Pourquoi, elle aussi, m’avait-elle fait tant d’effet ? Je n’en savais rien. Question d’atomes crochus ?

Je n’eus pas à répondre car elle se rendit compte que mon pénis n’avait rien perdu de sa superbe (j’avais vingt-trois ans à l’époque).

— Tu bandes encore ? s’étonna-t-elle. Tu es une vraie bête de sexe !

Elle s’empara de mon pénis, achevant en quelques secondes d’en refaire un vrai bout de bois.

— Chris, lui, pfuit… il se ratatine de suite, m’expliqua-t-elle en riant.
— Moi, je suis un abominable homme des neiges, et j’ai encore envie de toi.
— Tant mieux ! Moi aussi.

Je m’apprêtais à la prendre en levrette, histoire de profiter d’elle dans une autre position, mais elle me tendit l’oreiller en me disant :

— Glisse-le sous tes fesses ; je vais te chevaucher. J’aime bien faire l’amour comme ça.

Aussitôt en position, elle s’empala précautionneusement sur mon sexe dressé et commença une sorte de lente danse du ventre en se tenant très droite. Les pointes érigées de ses petits seins émergeaient de sa longue chevelure blonde qui ondulait au rythme de ses mouvements. J’aurais aimé les caresser, ...

... mais j’ai préféré la regarder faire en la tenant fermement par les hanches. Elle dansait sur mon sexe, alternant des mouvements longs et courts.

— Avec Chris, je ne jouis pas à chaque fois, m’expliqua-t-elle. Dans cette position, je peux me caresser et je suis sûre d’y arriver.

Pourquoi fallait-il qu’elle me parle encore de lui dans ce moment divin ? Heureusement, la comparaison semblait en ma faveur ; du moins en ce qui concernait le sexe.

— Fais-moi voir comment tu fais, lui ai-je répondu.

Ses ondulations s’accélérèrent, sa tête bascula en arrière, sa main droite se plaqua sur son clitoris. Le regard perdu, la bouche entrouverte, je la vis chercher un nouvel orgasme en se caressant et en se malaxant un sein. Ce spectacle d’un érotisme torride fut de courte durée. La danse de ses doigts sur son clitoris se fit endiablée. Elle poussa un long feulement, emportée par un spasme qui lui resserra les cuisses, et du coup me comprima les côtes. Qu’elle était belle quand elle jouissait !

Une fois apaisée, elle se pencha vers moi, venant chercher un baiser. Je la serrai dans mes bras, tout heureux d’avoir pu rester de marbre.

— Le spectacle t’a plu, abominable homme des neiges ?
— Fabuleux !

J’avais toujours mon pénis tout raide planté dans son vagin. J’avais ma langue entre ses dents. J’eus envie d’aventurer un doigt entre ses fesses, histoire d’être en elle partout. Elle émit un grognement de protestation mais se laissa faire. Je me suis mis à jouer avec ses ...