1. Val Thorens


    Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, jeunes, vacances, sport, froid, amour, Oral pénétratio, Auteur: Damien X, Source: Revebebe

    ... riant. Cette fois-ci, je l’ai embrassée ; à moins que ce soit l’inverse, elle qui m’ait embrassé. Ses lèvres étaient couvertes de flocons glacés, mais délicieuses. Ma langue s’insinua entre ses dents, trouva la sienne ; un régal…
    
    — J’ai un vrai coup de foudre, me confia-t-elle. Tu crois que c’est possible d’être amoureuse de deux hommes à la fois ?
    
    Une question à la noix. Que dire ? Je l’ai de nouveau embrassée. C’était si bon. Elle était sous moi, quasiment en position du missionnaire ; j’avais tellement envie d’elle que je me suis mis à bander. Elle s’en rendit compte.
    
    — Moi aussi j’ai envie de toi, m’avoua-t-elle en me regardant de ses yeux bleus.
    
    Je n’en revenais pas. Mon rêve n’était pas si débile ; il était en train de se réaliser.
    
    — Je t’emmène dans mon studio ? proposai-je.
    
    J’eus droit à son merveilleux sourire mais elle refusa.
    
    — Je ne peux pas, je suis fiancée.
    — Et alors ? Tu n’es pas encore mariée, tentai-je.
    — Je ne suis pas une salope. Je n’ai jamais trompé Chris. Je ne vais pas commencer.
    — Tu vas l’épouser en n’ayant connu qu’un seul homme dans ta vie ? m’exclamai-je.
    
    Ma réflexion sembla l’ébranler.
    
    — Chris n’en saura jamais rien, assurai-je en reprenant espoir, et cela n’enlèvera rien à l’amour que tu lui portes.
    
    Sur ce, je lui clouai le bec en l’embrassant à pleine bouche. Je la sentis fondre.
    
    — D’accord, allons-y, capitula-t-elle.
    
    Il nous restait une grande traversée au-dessus du lac pour rejoindre le télésiège qui ...
    ... nous ramenait à la station. J’ai tracé un chemin facile, et vers 15 h nous étions dans mon studio en train de nous déshabiller fébrilement. Nue, elle était encore plus belle que dans mon rêve. De jolis petits seins aux tétons dressés par le froid (plus vraisemblablement que par le désir), de longues jambes finement musclées, une taille fine mettant en valeur une croupe bien cambrée, une toison blond foncé soigneusement épilée entre ses jambes. Enlacés, nous basculâmes sur le lit. C’est alors que j’ai réalisé :
    
    — Merde. Je n’ai pas de préservatif.
    
    À ma grande stupéfaction, elle éclata de rire et me répondit :
    
    — Cela me prouve que tu dis vrai : tu n’es pas un dragueur impénitent.
    
    Comme j’avais l’air catastrophé, elle ajouta :
    
    — Viens sans. J’imagine que tu n’as pas de maladie puisque tu es un garçon sérieux.
    — Ben non, je n’ai pas de maladie… confirmai-je, un peu surpris qu’elle me fasse une telle confiance. Tu ne risques pas de tomber enceinte ?
    — Non… Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? Viens.
    
    Je compris que je pouvais laisser tomber les préliminaires. J’en eus la confirmation quand je pris place sur elle. Elle remonta ses cuisses pour mieux m’accueillir, et d’un geste impatient s’empara de mon pénis pour le positionner à l’entrée de son vagin.« Enfin une fille qui aime faire l’amour ! » me dis-je. J’eus une pensée pour Chris, qui allait être cocu mais qui ne devait pas s’ennuyer au lit avec elle. J’ai poussé lentement mon bassin. Mon pénis a écarté ses ...
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