Cousine Élodie
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
Inceste / Tabou
douche,
amour,
Masturbation
Oral
Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe
... L’excitation ressentie et le sentiment qui emplissait son cœur pour l’homme qu’elle suçait effacèrent vite le petit désagrément. Elle se rendit compte que pour lui, elle faisait avec goût quelque chose qu’elle avait presque toujours refusé à des hommes dont elle s’était même dite amoureuse.
— Alors comme ça, tu es prête à faire n’importe quoi pour moi ? lança Fabien entre deux gémissements.
Elle secoua la tête, ne désirant pas interrompre la fellation. Le goût du sexe changeait subtilement, et elle ressentait dans la main qui serrait la hampe et sous ses doigts faisant rouler les bourses les vibrations annonciatrices d’un nouveau raz-de-marée blanc.
— Une chose encore… fit l’homme d’une voix chaque fois plus étranglée. Les mots sortaient chaque fois plus heurtés… Je veux que tu baises ma femme.
La surprise fut totale pour Élodie qui interrompit presque ses différents mouvements. Mais bref, si c’était son fantasme. Elle ne lui dirait pas le contraire, surtout maintenant !
— Tu vas le faire ? insista-t-il.
Elle secoua la tête.
— Dis-le !
Il semblait arrivé à la dernière extrémité. Élodie quitta le sexe de la bouche quelques instants et prononça distinctement les mots qui, elle le devinait, allaient déclencher le plaisir de l’homme.
— Oui, je vais baiser ta femme. Devant toi.
Et le premier jet jaillit, venant heurter son menton. Elle replongea en avant, engouffra le gland juste à temps pour que la seconde vague d’une longue série puisse ...
... atterrir sur sa langue. Elle se mit à pomper, aspirant le sexe comme si elle avait voulu extraire la semence directement des olives dodues. Elle ne relâcha le membre que lorsqu’elle le sentit mollir dans sa bouche. Alors elle se laissa aller par terre, s’allongea et ferma les yeux. Elle ne se réveilla que deux heures plus tard.
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Pendant que la femme s’abandonnait au sommeil, Fabien s’était rhabillé. Il avait laissé Élodie couchée sur le sol mais l’avait recouverte et lui avait placé un coussin sous la tête.
La première chose qu’elle aperçut en ouvrant l’œil fut le regard vert de son cousin qui la fixait, dans la pénombre. Il était assis sur le sofa, et la contemplait. Elle regarda autour d’elle. Il lui fallut quelques secondes pour se rappeler où elle se trouvait, mais la question sortit avant qu’elle ait eu le temps d’y penser :
— Que s’est-il passé ?
Lui aurait-on dit à cet instant qu’elle s’était évanouie en entrant dans ce bureau, peut-être l’aurait-elle cru. Mais lorsqu’elle voulut se redresser, l’état de ses vêtements lui rappela les minutes chaudes qui venaient d’avoir lieu. Elle rougit. Se releva. Se tint droite au milieu de la pièce. Son corsage fripé était ouvert. Son soutien-gorge, décroché, pendait entre ses seins, sa jupe était froissée et découvrait l’une de ses fesses. Ses collants filés et sa culotte étaient au sol.
— Tu es très belle, fit Fabien.
Élodie fit trois pas vers lui. Elle rabaissa sa jupe, finit de retirer son ...