1. Cousine Élodie


    Datte: 13/07/2018, Catégories: fh, ff, Inceste / Tabou douche, amour, Masturbation Oral Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe

    — Si un jour tu me le demandes, je ferais n’importe quoi pour toi, fit la jeune femme, les larmes aux yeux.
    
    L’homme eut un petit sourire presque amer.
    
    — Mais non, voyons, ne dis pas ça… Non seulement tu ne le dis que sous le coup de l’émotion de l’instant, mais en plus, et malgré que je sache que tu es sincère, tu ne le ferais pas…
    — Tu plaisantes ? Tu viens presque de me sauver la vie…
    — Je viens seulement de t’aider à gagner ton procès de divorce…
    — Seulement ? Tu viens de prouver au juge que les accusations de l’autre salaud étaient toutes infondées, qu’il avait magouillé les constats d’adultère et les preuves pour me ruiner et pour m’arracher la garde de mon enfant ! Tu l’as réduit en poussière, tu l’as massacré…
    — J’ai gagné le procès, je suis un bon avocat, je fais mon boulot. Et toi, tu es ma cousine germaine, nous avons été élevés presque ensemble… Il était normal que je m’investisse, et de plus je connaissais bien l’autre salaud, comme tu dis.
    — N’empêche. Si un jour…
    — Je t’en prie, ne répète pas cela… Tu sais que c’est faux !
    — Je pourrais même m’offenser que tu ne me croies pas…
    — Ah ? Alors d’accord. J’ai toujours eu envie de toi, je n’ai jamais oublié ce que nous faisions lorsque nous jouions à cache-cache, enfants, et que comme par hasard nous terminions toujours tous les deux planqués dans la même armoire. Alors si tu veux vraiment me démontrer ta gratitude, c’est le moment. Ce soir, je réserve une chambre à l’hôtel et tu ne pourras plus dire non ...
    ... !
    
    La jeune femme regarda son avocat, les yeux ronds. Estomaquée.
    
    — Alors quand il y a quelques années tu me disais que nous aurions dû vivre une aventure…
    — Je disais la vérité, bien entendu. Tu n’as jamais voulu, sous prétexte que faire l’amour avec moi ce serait comme le faire avec ton frère. Mais puisque tu insistes, je ne vais pas perdre une pareille occasion ! Alors ce soir, je te fais l’amour !
    
    Élodie le regarda fixement, croisa les jambes pour rétablir son assise, puis les bras, écrasant ainsi ses seins contenus par son chemiser blanc. Elle prit une profonde respiration et lança :
    
    — J’y suis bien obligée… Je m’y suis engagée… Mais je ne m’attendais pas… Bref, je suis d’accord…
    
    Son regard monta vers le plafond du bureau.
    
    — Et puis tout compte fait, pourquoi attendre ? fit Fabien. Je crois bien que j’aimerais que tu me fasses une pipe tout de suite. Tu suces et tu avales, n’est-ce pas ?
    
    Il avait passé la main sous l’épaisse planche de bois lui servant de table de travail et les mouvements de son avant-bras ne laissaient aucun doute quant à son activité. Il devait avoir déboutonné sa braguette et sorti son sexe, et les mouvements rythmiques signifiaient qu’il le faisait se raidir avant de l’enfourner dans la bouche de la femme assise devant lui… Celle-ci eut un sursaut et écarquilla derechef les yeux. Ses lèvres s’entrouvrirent, arrondissant l’orifice. Ce n’était certainement pas sous l’effet de pensées érotiques mais bel et bien de la stupéfaction. ...
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