1. Cousine Élodie


    Datte: 13/07/2018, Catégories: fh, ff, Inceste / Tabou douche, amour, Masturbation Oral Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe

    ... J’aimerais changer de position, l’interrompit Élodie, une petite grimace de douleur au coin de la bouche.
    
    L’homme se redressa, recula d’un pas. Son membre encore gonflé sinon tout à fait raide sortit du sexe maintenant rempli des humeurs mêlées des deux amants. Élodie sentit l’air frais baigner ses lèvres intimes, puis la liqueur commencer à s’écouler de son vagin pour se perdre dans la fente de ses fesses. Elle était dans une posture d’une rare obscénité. Et elle y prit un violent plaisir. Les mots sortirent de sa bouche plus vite que sa pensée.
    
    — Tu veux bien me lécher ?
    
    Fabien la regarda, regarda le sexe entrouvert qui débordait de semence. Élodie vit le visage de l’homme se fermer quelque peu. Il n’allait pas le faire, dégoûté par son propre sperme. Elle ouvrit la bouche pour compléter sa phrase d’un« je plaisantais, arrête » lorsqu’elle vit Fabien tomber à genoux et, dans la seconde suivante, emboucher goulûment son sexe. Elle cria sous la sensation exquise quoique presque douloureuse de sentir son clitoris aspiré entre les lèvres masculines. Bientôt, une langue durcie envahit son intimité, remonta jusqu’au grelot sensible, redescendit, écarta la fente… Le plaisir revenait au galop dans le corps de la femme qui ne mit pas longtemps à de nouveau crier son bonheur sous le travail expert de l’homme.
    
    Lorsqu’elle revint à elle de ce nouvel orgasme, elle vit Fabien, appuyé contre le bureau, le sexe dressé, qui la regardait. Une humidité suspecte vernissait le ...
    ... tour de la bouche de l’homme. Il se pencha vers elle et l’embrassa. Elle reconnut les goûts mêlés de la semence et de ses propres humeurs. Elle se concentra sur celles-ci, qu’elle connaissait bien et qu’elle avait appris à apprécier car dans ses longues soirées de solitude pendant lesquelles elle cherchait de quelques caresses à combler son manque affectif, elle atteignait parfois des sommets de plaisir en se forçant à lécher ses propres doigts mouillés, ou à sucer l’objet qu’elle s’était enfoncé dans l’intimité pour en arracher du réconfort. Boire le jus de son sexe était une perversion qu’elle ne savait pas se refuser alors que le fruit du plaisir de l’homme ne l’avait jamais vraiment charmée, sucer ayant toujours été pour elle une épreuve qu’elle essayait de rendre aussi courte que possible…
    
    — Je n’avais jamais fait cela. Tu m’excites à un point phénoménal, fit Fabien en la regardant dans les yeux. Mais maintenant, c’est ton tour. Tu vas me sucer à fond. Tel quel… s’il te plaît, ajouta-t-il après deux secondes de silence.
    
    Avait-il surpris dans le regard de la femme le petit dégoût ressenti lors de leur baiser ? Mais ces égards, cette manière de demander mais de ne rien exiger, fit fondre définitivement le cœur d’Élodie. Comment refuser ? Elle se redressa, descendit de la table, regarda l’homme et tomba à genoux devant lui. Le sexe rougi l’attendait. Elle posa sa langue sur le gland, en fit le tour puis soudain engloutit le pieu. L’homme eut un gémissement étranglé. ...
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