1. Cousine Élodie


    Datte: 13/07/2018, Catégories: fh, ff, Inceste / Tabou douche, amour, Masturbation Oral Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe

    ... secondes à reconnaître comme la sienne, qui criait des mots sans suite, jetant, entre deux rugissements, des ordres à l’homme.
    
    — Plus fort, plus fort ! Ouvre-moi en deux ! Fais-moi jouir ! Je t’aime ! Putain, comme c’est bon ! Vas-y, mets-la-moi, retourne-moi le con ! Putain, je suis une pute, ta pute, vas-y, branle-toi dans mon trou et ensuite je te sucerai à fond, je te viderai les couilles comme jamais une femme ne t’a fait jouir… Baise-moi !
    — Mais jouis donc, espèce de salope, je ne vais pas tenir longtemps… lui rétorqua l’homme d’un ton presque désespéré.
    — Oui, je vais jouir, je vais partir dès que je te sentirai te vider en moi, vas-y, cousin, tronche-moi, c’est bon, c’est interdit, c’est ce que tu as toujours voulu, pas vrai ? Et moi aussi je me suis caressée en pensant à toi…
    
    La queue plantée en elle vibrait de façon presque continue. Sur le visage de l’homme, la crispation annonçait le plaisir final et démontrait l’effort surhumain qu’il faisait pour retenir son orgasme. Il n’allait plus tenir longtemps… Élodie lâcha l’un de ses propres seins qu’elle étirait cruellement et plaça son médius sur le haut de sa fente. Elle pressa, frotta, coulissa quelques secondes et ce geste fut suffisant pour déclencher son orgasme. Elle lâcha un premier cri qui fut le signal pour que Fabien se laisse aller. Avec un rugissement entrecoupé de mots extrêmement grossiers et de déclarations qui portèrent l’excitation d’Élodie à son paroxysme, l’homme se vida à grands jets, à ...
    ... grands coups de reins dans le sexe qui l’accueillait tandis que sa partenaire, le dos soudain tétanisé par le plaisir, se soulevait du bureau et lâchait un véritable hurlement.
    
    Elle se relâcha, puis tout son corps se durcit de nouveau, y compris ses muscles les plus intimes qui serrèrent fortement le sexe de l’homme encore dégorgeant, interrompant ainsi l’éjaculation. Mais la force du jet vainquit la résistance et, avec un rugissement de plaisir infini, Fabien déposa le reste de sa semence à l’intérieur du corps de la femme qui soudain se relâcha pour l’accueillir encore plus profondément. Leur danse de Saint-Guy se prolongea quelques secondes jusqu’à ce que, épuisés, ils s’effondrent l’un sur l’autre. Le silence régna quelques instants, seulement brisé par les respirations courtes et épuisées des deux partenaires, puis Fabien releva la tête. Son visage était baigné de sueur et une veine, sur sa tempe, battait encore bien vite.
    
    — Je n’ai jamais ressenti cela, fit l’homme. Penser que j’ai vécu toutes ces années sans connaître un tel plaisir, alors que nous nous connaissons depuis…
    — Tais-toi. Moi aussi je regrette… Jamais, non plus, je n’ai ressenti une telle sensation de plénitude… Mais si nous l’avions fait à 16 ans, nous n’aurions jamais connu cela aujourd’hui. Il nous fallait apprendre, connaître le mauvais pour savoir apprécier le bon…
    
    Il secoua la tête.
    
    — Bien sûr, tu as raison. Mais comment vais-je pouvoir maintenant faire l’amour avec une autre femme ?
    — ...
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