1. Une famille formidable !


    Datte: 10/07/2018, Catégories: fh, jeunes, cocus, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral fdanus, Auteur: Taz, Source: Revebebe

    ... magnifiques yeux bleus. J’ai tout le loisir de la détailler dans son maillot de bain qui lui va à ravir. La cambrure de ses reins, très marquée, a l’avantage de mettre en valeur – très en valeur, même – ses fesses et sa poitrine. Ses seins attirent mon regard plus particulièrement : ils ne sont pas énormes, juste la taille que j’aime, mais leur arrogante jeunesse, qui défie les lois de la gravité, sur ce buste cambré ne me laisse pas de marbre. Elle a à peu près le même âge que Thomas et moi.
    
    Lorsque je me tourne vers elle, elle détourne le regard aussitôt et se met à rougir ostensiblement. J’en souris intérieurement.
    
    Je prétexte le besoin d’aller déposer mes affaires pour sortir de la portée des jets de postillons de tonton Jean-Louis qui continue à hurler – cela semble être son unique moyen de communication – sans raison particulière.
    
    Anne court à ma suite et me rattrape, gênée.
    
    — Je suis désolée, ce n’était vraiment pas prévu.
    
    Je la rassure aussitôt :
    
    — Mais ce n’est pas grave, vous avez bien le droit de recevoir qui vous voulez, vous êtes quand même chez vous.
    — Oui, mais la personnalité de Jean-Louis, quand on n’est pas préparé…
    
    J’éclate de rire.
    
    — Oui, effectivement, c’est un personnage !
    — Et tu n’as encore rien vu. Au fait, ça a été, ta journée ? Je ne t’ai pas entendu partir ce matin.
    
    Elle pense donc que c’est son mari qui est venu l’embrasser ce matin !
    
    — Oui, très bien. Par contre, je suis éreinté. Je vais aller me reposer une ...
    ... petite demi-heure dans la chambre.
    — Euh, non ; à ce propos, tu as bien toujours ta toile de tente dans ta voiture ?
    — Oui, pourquoi ?
    — Eh bien, ils se sont installés dans la chambre de Thomas ; il faudrait donc que tu déménages.
    
    Tout s’effondre ! Moi qui rentrais tout guilleret du boulot et qui m’imaginais ce matin encore pouvoir continuer à jouir de cette situation paradisiaque, voilà que je me fais mettre à la portemanu militari. Bien que contrarié, je feins l’indifférence.
    
    — OK, il n’y a aucun problème ; je vais récupérer mes affaires et essayer de trouver un camping.
    — Non, non, je me suis mal fait comprendre : je ne souhaite pas que tu partes, il n’en est pas question, répond-elle, un peu paniquée.
    
    Cela me rassure : mes espoirs n’étaient donc pas infondés. Elle reprend :
    
    — Simplement, il faudra que tu installes ta toile de tente au fond du jardin le temps de la villégiature de ces gêneurs.
    — Tu me rassures ; un instant, j’ai cru que tu voulais me dégager.
    — Tu crois vraiment que j’en ai fini avec toi ? me dit-elle en me déposant un baiser furtif sur les lèvres, maintenant que le malentendu est dissipé.
    
    Et me voici donc dans le jardin, complètement fourbu avec une épaule démise à essayer de comprendre les instructions qui me permettront de transformer cet amoncellement de tissu et d’arceaux en une tente solide et confortable.
    
    — Il a besoin d’un coup de main ? me hurle Jean-Louis depuis le bord de la piscine.
    
    Il s’adresse à moi à la troisième ...
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