Une famille formidable !
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
cocus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fdanus,
Auteur: Taz, Source: Revebebe
... belle dans cette position, entièrement offerte ! La tête plaquée sur mon sac de couchage, je lui attrape les mains et les croise en les maintenant fermement sur ses fesses et la pilonne de plus en plus brutalement. Après quelques minutes dans cette position, elle parvient à dégager l’une de ses mains et m’attrape les couilles entre ses jambes. Cette divine caresse a rapidement raison de moi ; elle me sent proche de la jouissance et se retourne.
Relevant ses cheveux avec l’une de ses mains, la pointe de sa petite langue rose me lèche la queue sur toute sa longueur pendant que sa main libre me masse toujours les couilles. Le souffle court, une douce chaleur m’envahit soudainement. Je jouis et me répands en longs jets puissants qui finissent en traînées blanches entre ses seins et sur son épaule. Toujours pas rassasiée, Anne continue de me masser les bourses et embrasse mon sexe encore imprégné de son odeur. Je suis parcouru de spasmes à chacun de ses coups de langue. Mon sperme a coulé tout le long de son corps. Partant de sa poitrine, il dessine un ...
... petit ruisseau sur son ventre, tournoyant autour de son nombril avant de reprendre sa course vers son entrejambe.
— Tu m’en as encore mis partout, petit coquin ! me dit-elle, l’air rieur alors qu’elle essaie de limiter les dégâts en récoltant ce qu’elle peut avec ses mains.
— C’est de ta faute : c’est toi qui t’es retournée. Moi, j’étais bien derrière toi, lui dis-je en plaisantant.
— Oui, mais je n’allais pas te laisser jouir en moi.
— Et pourquoi pas? dis-je en m’approchant de sa bouche.
Elle se dégage.
— Patrick ne veut pas.
— Et alors, il n’était pas là. Et je croyais que tu voulais te détacher de ses règles…
— Oui, mais ça, c’est quand même pas pareil…
Je la sens gênée. Elle enfile son peignoir et s’apprête à sortir. Je reprends alors, sur le ton de la plaisanterie :
— Et puis moi, je le laisse bien faire…
Elle éclate de rire, et après un court instant de réflexion me dit :
— C’est vrai, on verra…
Je la vois disparaître dans la nuit, me laissant seul avec les bruits des grillons et des grenouilles pour seule compagnie.