1. Une famille formidable !


    Datte: 10/07/2018, Catégories: fh, jeunes, cocus, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral fdanus, Auteur: Taz, Source: Revebebe

    ... personne : je ne supporte pas ça !
    
    — Non, non, ça ira, merci.
    — Si il a besoin, qu’il hésite pas, tonitrue-t-il.
    
    Après une bonne demi-heure d’essais infructueux, j’ai enfin réussi à dresser la structure et à la stabiliser. Au moment où je termine mon installation, Patrick, revenant du travail, se gare dans la cour de la maison. Toute la famille de Jean-Louis se précipite à sa rencontre. Il est surpris et ravi de retrouver son frère et sa famille pour quelques jours.
    
    —ooOoo—
    
    Nous nous retrouvons tous quelques instants plus tard autour de la piscine à siroter un apéritif. Anne profite que nous soyons tous rassemblés pour nous préciser que la salle de bain de la maison est réservée aux deux couples, et que Clémence, les enfants et moi devrions nous contenter de la douche extérieure et du cabinet de toilette de la piscine. Nous acquiesçons tous puis levons nos verres à la santé de cet été qui commence si bien.
    
    Jean-Louis monopolise la conversation en nous racontant ses dernières prouesses à son travail – il est contremaître dans une fabrique de conserves de haricots verts, sujet ô combien passionnant. Patrick et lui enchaînent les apéros les uns après les autres, et ils sont déjà bien échauffés lorsque nous passons à table. J’ai constaté avec stupeur que le niveau sonore de la voix de l’ogre augmentait de quelques décibels à chaque verre bu.
    
    Anne fait bonne figure et est aux petits soins pour tout le monde. Elle est particulièrement complice avec Clémence, ...
    ... et je les entends rire au loin dans la cuisine. Arrivés au dessert, on ne tient plus Jean-Louis, qui se remémore leur frasques de jeunesse ; il hurle et rit à gorge déployée sans discontinuer. J’ai les oreilles rouge vif ; s’il continue, je pense qu’un vaisseau va finir par éclater dans mon oreille interne.
    
    Patrick rit de bon cœur et continue à enchaîner les verres les uns après les autres. Quelle descente !
    
    Aux alentours de minuit, Agnès – dont je n’avais pas remarqué qu’elle était encore là – et Théo, qui s’était endormi en bout de table depuis une bonne heure, nous quittent pour aller se coucher.
    
    Clémence et Anne reviennent de la cuisine en apportant le café et un petit calva de la région.« Comme s’ils avaient besoin de ça… » me dis-je. Nous passons sur la table basse de la terrasse pour prendre le digestif. Patrick et son plantigrade de frère nous suivent ; ils titubent tous les deux. Jean-Louis n’interrompt cependant pas son flot de paroles. Nous nous asseyons, repus. Je suis assis à côté de Patrick qui commence à somnoler.
    
    Clémence est face à moi, bien au fond de son siège. Je constate avec joie que dans cette position, comme Anne la veille, elle a les cuisses largement découvertes. Elle sort son téléphone et pianote dessus, probablement pour s’isoler des élucubrations inintéressantes de son père. Je suis fasciné par la pureté de sa peau blanche, si douce, et ne peux détacher mon regard de ses jambes. Saoulé par le flot de paroles de Jean-Louis, je m’évade ...
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