-
L aile ou la cuisse
Datte: 30/06/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... je jetais sa culotte dehors dans l'herbe. Il était à prier qu'un garnement ne passât par là et l'emporta. Je dévorais bientôt avec ma bouche l'entièreté de sa chatte et de son cul. Ceux-ci n'étaient pas en dessous de ce que j'avais rêvé. Peu à peu je pris en considération ce cadeau qu'elle me faisait et de si grand prix. C'était Byzance. Quelle lutte ! Sur la banquette arrière durant une heure j'assouvis en toute position mes désirs. Elle ne fit pas de façons quand je résolus à passer par la petite porte. Même elle hurla : « Encule-moi ! ». J'étais impressionné surtout qu’elle ne joua pas avec moi. Je vis qu'elle était hors d'elle lorsqu'il s'agissait de sexe. Elle devenait d'emblée une furie. J'eus le doute que n'importe qui, mâle à l'instant eût été à son affaire. Je n'étais pour elle qu'une queue, une occasion de jouir. Elle n'avait de cesse que je fus heureux, couilles vidées et content de la putain qu'elle était, cause de ce miracle. Je n'étais pas peu fier au bout du compte de l'avoir attrapé et qu’elle acceptât de devenir un temps ma maîtresse. Le soir nous fermions la porte du bureau peu après qu'elle vint. Il nous importait peu de ce que pensaient les autres qui traînaient alors à cette heure. De toute façon ces autres à divers étages forniquaient pareil. J'adorais la prendre sur le bureau après avoir tout balancé. Je savourais son ...
... sexe entre les cuisses. La garce avait auparavant enlevé sa culotte. Je lui savais cette fantaisie de se balader ainsi dans les couloirs. J'étais devenu entre temps drogué de sa chatte. Elle n'en adorait pas moins ma bite. Elle aimait à dire que la nature m'avait mieux fourni que son mari, mon ami. Je goûtais peu des propos méchants sur celui-ci. Cela me ramenait à ma culpabilité. Il ne méritait pas une telle ignominie. Quoiqu'il en soit je la baisais suffisamment pour croire qu'elle ne put ailleurs trouver un autre assouvissement. Je damais les pions à ses autres amants. Je tenais la corde. J'étais pour un temps son Number one. Je sentais que cela ne durait pas. Qu'il me fallait user d’elle et de son corps tout mon saoul. Elle se lasserait un jour de moi. L'échéance arriva où l'on allait attribuer les postes. Elle doutait encore bien que je l'eus rassuré sur ce point. Le patron la veille m'avait assuré qu'elle était largement favorite. Il n'était même pas besoin que je supportas ma candidate. Même malicieusement il ajouta : « Une sacrée salope, n'est-ce pas ? » Je marquais un temps d'arrêt mais me gardais de poser plus avant de questions. Ce coquin manifestement l’avait sauté. Il avait du être de ces amants. Du coup j'étais ravalé au grand nombre et à une liste. Elle m'embrassa sur la bouche dans le bureau percevant cela comme un signe d'adieu.