1. L aile ou la cuisse


    Datte: 30/06/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... mépris pour un coureur de jupon, Tout cela s'aggrava par une circonstance que je n'avais pas prévu. Un jour me fut présenté son mari lequel était venu la chercher. Quel ne fut mon étonnement de reconnaître en lui un vieil ami et partenaire de tennis lorsque nous étions au collège Ainsi ce gogo avait épousé cette ravissante femme. J'en étais mortifié l'ayant toujours méprisé surtout sur le plan sexe. Enthousiaste au contraire de moi, il insista pour que cela fut fêté avec nos conjoints respectifs.
    
    Cela tournait maintenant au comique lourd de boulevard. La miss n'était pas moins que moi mortifiée que je pus connaître son mari qu'elle méprisait manifestement. Même ma femme perçut le désamour en ce couple. Il était étonnant qu'ils n'eurent pas encore divorcée. J'étais non moins agacé de présenter mon épouse en pareille circonstance. Les deux femmes sympathisèrent ou du moins la miss affecta de m'en faire une démonstration. C'était sans doute un message à mon égard du genre : « N'avez-vous pas honte gredin de tromper une personne, une épouse si charmante ? «
    
    Je ne savais plus comment aborder la situation. J'avais cru dans un premier temps à une campagne prompte et glorieuse à la Bonaparte et là je m’enlisais dans une guerre de position tel à Verdun. Ma femme n'eût que louange pour ma miss. Mon ancien copain point en reste trouvait que je formais avec ma femme un couple formidable. Il y avait une cruelle ironie que nous organisions ensemble souvent des sorties. N'en ...
    ... pouvant plus et perdant tout sang froid, j'avouais un jour à la miss que tout cela s’insupportait suintant une certaine hypocrisie. Je savais qu'elle n'aimait plus son mari.
    
    Elle en convint volontiers sans se départir toujours de son même sourire. Ajoutant : « En tout cas vous avez l'air de tenir encore à votre femme bien que vos agissements puissent convaincre du contraire. » Elle n'était pas avare de ce genre de coup de griffe. Elle me témoignait de la sorte son mépris. Le Tartufe c'était moi et non elle. Je crois qu’elle avait raison. Je ménageais par trop dans la vie, la chèvre et le chou. Elle était plus entière et savait à quoi s'en tenir. En cela je crus devoir mettre les pieds dans le plat et lui parler de son avenir du moins professionnel.
    
    Elle pouvait me moquer. Son avenir n'en était pas moins lugubre avec son mari et elle aurait sûrement besoin de moi pour un coup de pouce dans sa carrière enlisée. J'avais l'oreille du patron. Je partageais avec lui une même passion pour l'opéra. Nous allions souvent à Paris pour des représentations. Je pouvais la recommander auprès de lui. Je lui fis entendre cela clairement. Je pouvais lui faire gagner deux ou trois ans. Ma démonstration dut lui paraître imparable. Elle se radoucit. Elle s'excusa de ses façons venimeuses. Elle était par trop aigrie.
    
    J'obtins peu après un indice de dégel. Détail ténu, imperceptible. Nous discutâmes un instant tandis qu'elle entrait dans sa voiture. Portière ouverte elle demeura ainsi cuisses ...
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