1. L aile ou la cuisse


    Datte: 30/06/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... écartées. Je crois encore aujourd'hui qu'elle fit cela par dessein. La pudeur réclamait d'autant que mes regards étaient peu équivoques, qu'elle referma cette portière ou du moins ses cuisses. Au contraire elle imprima à celles-ci une sorte de balancement excitant qui signalait d'autant et entre, la blancheur d'une culotte. Je n'avais jamais vu celle-ci avec une telle intensité et précision. J'y vis comme un signal.
    
    Le lendemain, elle me fit l'insigne honneur de venir tard le soir parler. C'était une première. Elle accordait ce privilège à d'autres ce qui avait longtemps nourrit mon dépit. Il se confirmait qu'elle voulait à mon égard afficher de nouvelles dispositions plus favorables. Indubitablement elle voulait me charmer et effacer si cela se pouvait un passé funeste trop empli de mépris. J'aurais été mauvais joueur de m'offusquer et d'afficher ma rancœur. Il ne me déplaisait pas d'affecter des manières de seigneur magnanime et donc de pardonner. Nous eûmes ainsi un échange enjoué.
    
    On eût dit deux vieux amis. Nous jouâmes ce jour-là parfaitement la comédie. Elle n'en resta point là. Assise face à moi et dos au couloir, elle pouvait impunément m'offrir ce que ne pouvait voir les autres. Notamment des cuisses ouvertes ou croisées selon. Tandis que nous échangions je ne faisais aucun effort de me cacher et mes regards tel la flèche dans une cible allaient toujours au même endroit : sa chatte ou plutôt sa culotte. Cette dernière cette fois était de couleur mauve et ce ...
    ... qui me choqua des plus transparentes. Je distinguais en effet le relief de son sexe. J'eus une érection.
    
    Ma grimace à cet égard me trahit. Elle sourit d'obtenir ainsi l'effet escompté. Elle était en train de dire qu'elle espérait vraiment en moi. Elle paniquait qu'une nouvelle arrivée depuis peu ne lui fut une rivale redoutable et fatale. Je percevais une réelle inquiétude dans ses propos. A ce moment elle écarta résolument les cuisses. Elle allait sûrement se lever et partir. Cette ultime ouverture si je puis dire n'était pas moins que pour me signifier que je pourrais me servir ici tout à loisir. Je jubilais ce soir-là assuré de parvenir bientôt à mes fins. J’allais soumettre bientôt la Superbe.
    
    Ce week-end il y eût une sortie entre les couples. Loin de me battre froid ou plutôt d’affecter une pudique distance, elle manifesta au contraire une attirance nouvelle pour moi. Au mépris de l’élémentaire prudence souvent se collait-elle à moi voire se frottait. On eût dit qu’elle voulait être vu et surpris par nos conjoints respectifs. Je goûtais mal cette audace. Je n'en demandais pas tant. Ne voyait-elle pas qu'elle pouvait tout compromettre ? Peut-être voulut-elle me montrer qu’elle était prête à tout. Qu'elle n'avait peur de rien. Par le jeu du hasard elle fut auprès de moi au dîner.
    
    Nous étions ce soir-là huit autour de la table. Il faisait sombre. Nous bûmes plus que de raison. Un film idiot passait à la télé dont nous nous jouions. Chaque ineptie du film étant en ...