1. L aile ou la cuisse


    Datte: 30/06/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    J'étais tombé une première fois en extase sur ses jambes. Elle savait à propos les mettre en scène par le port de courtes jupes et des bas couture. Par le témoignage reçu des autres hommes, je pouvais témoigner que l'émoi était égal au mien chez eux. Les femmes au contraire et comme il peut se concevoir trouvait cela limite et indécent. De leur point de vue une femme à un certain âge devait renoncer à ce genre de coquetterie. Je protestais à ce propos strict et censeur par celui qu'une femme avantagée par la nature avait droit d'en faire étalage et profiter aux autres.
    
    J'en vins peu à peu à m'habituer aux jambes de ma nouvelle collègue. Je l'admirais que de loin déplorant qu'elle n'exerça pas en mon service. Je n'étais de ces dragueurs invétérés et téméraires qui franchissent volontiers le Rubicond. Je me contentais parfois d'un seul regard appuyé. Comme nombre de femmes elle ne pouvait ignorer ce type d'hommage silencieux lequel s'ajoutait à d'autres et dont n'avait cure semble-t-il ma jolie. Je n'en espérais pas moins m'approcher un jour d'un tel phénomène. L’opportunité s'en trouva le jour où elle muta en mon service.
    
    Le hasard décidément faisait bien les choses. Elle trônait avec une autre dans un bureau face au mien. Pour peu que les portes ne fussent fermées, je pouvais l'admirer de mon siège. Affublée de charmantes lunettes, elle relevait rarement la tête et si c'était le cas elle esquissait un sourire et manifestait ensuite d'un geste parodique que je devais ...
    ... me mettre au boulot. Sans doute devais-je avoir un air ahuri de chien tombant en arrêt devant un os fabuleux. Il me fallut attendre pour échanger avec elle et entendre sa voix prodiguant le miel. La machine à café en donnait l’occasion.
    
    Je sus à mon grand dépit qu’elle aurait voulu atterrir en un autre service. Elle avait été primée par une plus intrigante. Elle avait du se contenter de celui-ci comme lot de consolation. Décidément une chance inespérée m'avait servi. Je l'assurais que les gens ici étaient sympathiques et qu'au niveau carrière et quoiqu'elle en pensa son poste lui serait un tremplin. Ce n’était point flagornerie de ma part car je le pensais. Allant plus loin je lui fis entendre que j'avais le bras long et que je pourrais servir ses intérêts. Elle en parut sceptique au début puis elle fut convaincue de mes pouvoirs.
    
    Bref j'avançais inéluctablement mes pions. Cependant elle sut comme d'autres que j'avais ma maîtresse attitrée dans un autre bureau. Cette dernière me lassait notamment à cause de ses incessantes scènes de jalousie. Elle m'était devenue un poids. Je ne savais plus comment m'en défaire. Les potes me moquaient. Je ne pouvais décemment ouvrir un nouveau front ou du moins cela requérait tact et discrétion. Ma miss remua avec quelque cruauté la plaie dans le couteau en affectant la compassion que je dus gérer une telle mégère. Elle me taxa de Don Juan au petit pied.
    
    Elle me signifiait par là que je la draguerais en vain et qu'elle n'avait que ...
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