1. L aile ou la cuisse


    Datte: 30/06/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... effet l’occasion de saillies et de mots d'esprit. L'ambiance était à la fête. Elle s'enquit à frotter son pied contre le mien. Perclus d'alcool ma surprise en fut amortie. Je la laissais poursuivre ce jeu. Ce pied gourmand et nerveux s’engouffra jusqu'au haut de ma cheville. Il n'y avait plus de doute. Jetant au ruisseau toute ma pudeur j’apposais peu après une main sur sa cuisse qu’elle n'enleva point.
    
    Le miracle était que nous manifestions en surface et à l'égal des autres un enjouement comparable et complice qui ne trahissait nullement nos fantaisies en dessous de la table. Les autres pouvaient-ils deviner nos enjeux sublunaires ? Du reste à bien y réfléchir il se pouvait que d'autres dans cette pénombre propice sacrifiaient peut-être au même jeu coupable ? De toute façon l'ambiance était à la la folie voire l'orgie. Je me souviens nettement que ma main s'hasardât un instant à ls culotte tandis que la sienne venait s'assurer que je bandais. La soirée décidément était délicieuse.
    
    Je vous laisse deviner aisément la suite. Il y eût en effet tout le dimanche une succession de SMS fiévreux et cochons. On parlait cru. Les mots chatte et bite n'étant pas les moindres. Ils nous tardaient de nous jeter l'un sur l'autre. La perspective du lundi trop lointain put nous paraître insoutenable. Nous ne fûmes pas moins étonnés de nous découvrir dans nos bureaux respectifs tel de terribles conspirateurs. Nous avions peur que les autres eussent pu lire sur nos visages notre crime. ...
    ... Nous fîmes en sorte de nous fuir attendant la pause du midi. Celui-ci sonnât.
    
    Nous avions convenu de nous rejoindre aux berges du canal, rendez-vous notoire des amoureux et des amants. J'eus préféré un autre endroit plus discret bien que sordide : un parking souterrain où j'avais des habitudes et consommer pas mal de garces. Cependant la miss aspirait que notre adultère fut consommé en pleine lumière bien que non point au su de tous. Nous fîmes en sorte de ne croiser nulle connaissance faisant fi par ailleurs des immanquables voyeurs. De toute façon elle m’affirma n'avoir cure de ceux-là voire-même que cela l'excitait. Elle m'en fit la démonstration.
    
    Ainsi la découvrais-je à mesure et sous un nouveau jour. J'étais certain désormais qu’elle avait enfreint les règles de la conjugalité. Que mon ami depuis longtemps avait été irrémédiablement cocu. Peu enclin à la compassion, il me gênait seulement que d’autres que moi fussent passés avant et notamment de mes collègues. En moi la jalousie et le dépit le disputaient. Ce qui me rembrunit l'alertant quelque peu . Elle s'écria : « Quelque chose ne va pas. Tu ne veux plus de moi ? « J'avais envie de lui hurler qu’elle n'était qu'une putain et que je n’escomptais pas y renoncer.
    
    Ployant sa nuque,je l'intimais à sucer. Jeu auquel elle se plia. Je vis qu'elle aimait à être rudoyée et forcée. Elle prit ma colère rentrée pour de la fougue virile. Avec âpreté j 'enfonçais chacun de mes doigts dans ses orifices. Elle mouillait. Par jeu ...