Marlène (chapitre 4)
Datte: 12/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... après-midi. Elle la consacrerai à cela. Elle trouverai tout ce qui lui faut au magasin de bricolage, à quelques kilomètres de chez elle. Elle ne savait pas encore vraiment quoi mais elle verrai sur place.
Elle s’installa alors sur son lit avec son portable et se mit au consulter les sites consacrés au sadomasochisme. Histoire de se donner des idées. Elle écarquillait les yeux. Même dans ses fantasmes les plus chauds, elle n’avait imaginé que de tels objets puissent exister.
Ça allait des fouets et des cravaches de toutes sortes, des martinets en cuir, des pinces de toutes dimensions et de toutes forme, des chaînes, des colliers et des bracelets, des bâillons en passant par les chevalets de torture et les carcans, en bois ou en acier. Mais ce qui la troublait le plus, c’était les plugs anaux, objets de forme coniques avec une extrémité arrondie pour en permettre la mise en place et une partie plus large sur le dessus pour l’empêcher de ressortir et sur le dessous pour l’empêcher de pénétrer trop profondément. Il y avait des petits, dont la partie évasée avait un diamètre d’environ 3 centimètres et la partie centrale un peu plus de un. Mais d’autres avaient jusqu’à 4 centimètres de plus des deux côtés. Il lui paraissait humainement impossible de se placer un tel objet dans les reins sans se déchirer complètement. Elle qui n’osait toujours pas se toucher à cet endroit sans se crisper et rougir de honte, elle allait peut-être un jour devoir se promener avec ce genre de ...
... chose enfoncé en elle. En public, peut-être. C’était vraiment très dur à imaginer. C’était vraiment la pire humiliation que l’on pourrait lui faire subir.
Les images de filles attachées, écartelées dans toutes les positions, parfois couvertes de marques de fouet ou de pinces, suspendues par les bras ou même par les pieds lui donnaient un aperçu de ce qu’elle devrait peut-être vivre un jour. Il avait bien tenté de la rassurer, après qu’elle lui eu raconté son fantasme, mais elle était quand même très effrayée. Pourrait-elle supporter ça ou renoncerait-elle? Il y avait une grande différence entre une douleur que s’on s’inflige soi-même et à laquelle on peut mettre fin quand on veut et une autre où on est à la merci d’un bourreau, attachée, impuissante, et forcée à subir des sévices sans pouvoir contrôler quoi que ce soit.
Elle ne pouvait s’empêcher de s’imaginer à la place de ces filles, et son excitation montait de nouveau en flèche, mais le carillon de l’horloge, annonçant 9 heures la tira de ses pensées. Elle descendit et se plaça devant le miroir. Elle commençait à trouver ces séances inutiles et ennuyeuses. Elle lui en parlerai ce soir.
La séance terminée, elle remonta sur son lit et continua ses recherches, surfant de sites en sites. À chaque fois elle trouvait des images violentes qui l’excitaient mais qui la terrorisaient à la fois. Des instruments de torture qui semblaient venir tout droit du moyen-âge et de l’inquisition, d’autres directement des camps de ...