Marlène (chapitre 4)
Datte: 12/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
La femme revient vers moi, menaçante, sa fine cravache à la main.
« Debout! Tu vas faire un peu d’exercice. Le sport c’est bon pour la santé. » me dit-elle en ricanant. Elle m’a remis la laisse. Elle m’attache les mains derrière le dos et m’entraîne. Nous sortons dans une sorte d’immense terrain vague, dont le sol est jonché de débris et d’ordures. Un sentier, dont la surface est faite de petits cailloux pointus en fait le tour. Il pleut et il y a beaucoup de vent. Nous sommes en novembre. Il ne doit pas faire plus de 4 à 5 degrés. Elle m’entraîne derrière elle. Je remarque qu’elle a chaussé des baskets. Elle me crie dessus. « Plus vite! Plus vite! Tu veux que je te tire par les nichons, pour te motiver? Ou que je te fasse avancer à coups de fouet ou à coups d’électrochocs dans le vagin? Il n’y a qu’à demander.
J’accélère. Je cours, presque. Mon ventre et mes reins sont en feu. Mes pieds aussi.
Sans rien dans l’estomac depuis presque deux jours- je n’ai plus de force. Mes jambes se dérobent sous moi. Je tombe sur le sol. Elle me frappe avec sa cravache et me hurle dessus.
« Debout! Debout! Avance! » Les coups pleuvent. Elle vise les côtés de mes seins, mes fesses. À chaque fois que je suis presque debout, un coup me fait perdre l’équilibre et retomber. Je finis par m’allonger sur le sol, immobile, en sanglots. Je suis trempée et frigorifiée. Je ne peux plus bouger.
Elle siffle entre ses doigts. Deux hommes arrivent et me saisissent. Ils me traînent à ...
... l’intérieur. Me plaquent au sol et m’immobilisé sur le dos, jambes ouvertes. Un troisième arrivé. J’aperçois dans sa main un petit objet cylindrique, arrondi au bout et prolongé par un câble électrique. Il le glisse dans sa bouche pour l’induire de salive et me le glisse de force dans le vagin. Je le sens s’écarter en moi. Il s’est ouvert comme un parapluie, rendant sa chute impossible. Il branche l’autre extrémité du câble à un petit boîtier, de la taille d’une grosse télécommande et munie de plusieurs boutons. Il le tend à la femme, qui s’en empare.
Elle se place face à moi et sourit. « Tu vas avancer, maintenant, crois-moi! » elle presse le premier bouton. Mon ventre se crispe et je pousse un petit gémissement. Elle recommence quatre ou cinq fois. Je finis par tomber à genoux, de nouveau.
« Debout! En vitesse! Je vais t’apprendre à obéir, moi »
Elle presse un autre bouton, à côté du premier. La décharge est beaucoup plus forte et je hurle mais j’arrive à rester sur mes pieds. Nous retournons dans le froid. Cette fois, j’avance, plus vite. J’ai tellement peur des décharges que j’oublie toutes mes autres douleurs. Je marche, je marche. Je fais ainsi quatre ou cinq fois le tour du terrain jusqu’à ce que, soudain, elle m’ordonne de rentrer. Elle me fait marcher jusqu’à la salle de torture. Me place debout, pieds écartés, et d’un geste sec arrache l’électrode de mon sexe. Me rattache au mur à l’aide du collier et s’en va.
Je suis gelée et toujours morte de faim et de soif. Ils ...