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Marlène (chapitre 4)
Datte: 12/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... après-midi. La matinée se passa tranquillement, entrecoupée par les séances de pose devant le miroir. Elle était de moins en moins perturbée par sa nudité. Ces séances ne lui semblaient plus vraiment utiles mais c’était ses instructions et elle les respecterai. Elle prit une vingtaine de minutes pour réviser ses positions. Les dix premières et bien sûr les cinq nouvelles. Elle ne rencontrait aucune difficulté pour les retenir. Ses années de danse lui avaient donné cette faculté de mémoriser des dizaines de positions et de postures, sans jamais les confondre. Elle déjeuna, mit un peu d’ordre dans sa chambre, fit son lit. Elle rangea aussi l’appareil et le trépied qui étaient restés en place depuis hier soir. À la première séance de pose, à 8 heures, elle constata que son sexe avait repris un aspect presque normal, même s’il était encore violacé par endroits. Les marques de ceinture avaient complètement disparu. Toute la zone restait toujours un peu sensible mais ne l’empêchait plus de se caresser. Une chose la troublait pourtant. Elle avait l’impression que la douleur et la brûlure ressentie augmentait son plaisir. Elle se souvenait de la veille au soir, où elle n’arrivait plus à discerner le plaisir et la souffrance et où elle avait eu un des orgasmes les plus intenses de toute sa vie. On aurait dit qu’une certaine dose de souffrance ou d’humiliation multipliait ses sensations. Toutes ces pensées l’avaient émoustillée, une fois de plus. Elle avait de nouveau ...
... envie de se caresser et elle allait tenter une expérience. Elle prit, dans le tiroir de son bureau, deux pinces métalliques comme celles que l’on utilise pour attacher des liasses de papiers ensemble. Elle se mis à genoux devant le miroir et plaça une pince sur chacun de ses mamelons, déjà dressés. Elle grimaça. C’était vraiment très douloureux. Elle posa les mains sur la tête et s’obligea à garder cette position plusieurs minutes. La douleur augmentait sans cesse. Elle avait les larmes aux yeux mais son ventre était brûlant et dégoulinant. Elle commença à se caresser frénétiquement et jouit presque immédiatement, en poussant un tel cri qu’elle eu peur d’avoir alerté les voisins. Elle était hors d’haleine mais les pinces étaient toujours là, qui lui brûlaient les pointes des seins. Elle entreprit de les enlever et c’est à cet instant que la douleur fut la plus terrible. Ce fut comme si on lui arrachait toute l’aréole hors du sein. Ses mamelons étaient rouge vif et gardaient la marque de la pince. Elle resta encore plusieurs minutes immobile devant le miroir, puis massa ses tétons meurtris, pour tenter de leur redonner une forme normale. Ils allaient la brûler pendant des heures, elle le savait. Mais cette expérience lui avait donné la confirmation qu’elle attendait: la douleur augmentait son plaisir. Elle décida alors de se créer une collection d’accessoires lui permettant de varier et de doser les douleurs qu’elle s’affligerai. Elle n’avait rien de prévu cet ...