Marlène (chapitre 4)
Datte: 12/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... penchée en avant à 90 degrés. Il zooma sur ses fesses, puis sur son sexe et cette tache qui s’étendait de plus en plus.
Il continua ensuite à énumérer les 15 positions, plusieurs fois de suite, sans toutefois relever la moindre erreur. Elle avait bien étudié et malgré son trouble, la gêne engendrée par sa tenue et son excitation, elle exécuta parfaitement chacune d’elles.
Cela dura plus de vingt minutes. Après quoi il l’invita à venir s’assoir au salon.
« Eh bien Marlène, comment vas-tu? Raconte moi un peu ta journée.
Elle lui fit un récit détaillé, n’omettant ni l’expérience avec les pinces le matin, ni la recherche sur les sites spécialisés, ni ses achats et ses réalisations en matière d’accessoires érotiques. Il semblait contrarié.
« Tu es d’une grande franchise mais tu vas beaucoup trop vite. À partir de ce soir, il faudra apprendre à contrôler tes pulsions. Plus aucune séance de masturbation ne sera tolérée jusqu’à samedi soir. Si tu ne peut pas t’y tenir, la soirée test sera annulée. Et n’essaie pas de me mentir ou de te caresser en cachette, tu n’as aucune chance. Je lis dans tes pensées comme dans un livre. Les mots peuvent mentir mais la voix et la gestuelle, jamais. J’ai étudié cela pendant des années. »
Elle reçut ça en plein visage, comme une douche glacée. Alors qu’elle commençait à peine à assumer son plaisir, il allait la stopper net, la bloquer dans son élan. Pourquoi faisait-il cela? Que cherchait-il? À la contrôler plus encore? À la ...
... frustrer pendant plusieurs jours pour que je sois vraiment prête à tout samedi? Il n’avait pas besoin de ça pour qu’elle donne le maximum. Elle ne comprenait plus rien. Elle avait pourtant toujours obéi à ses directives, avait été parfaitement ponctuelle à chaque fois, préparé ses vêtements pour samedi, lui avait toujours dit la vérité. Alors, pourquoi cette punition cruelle? Elle aurait cent fois préféré un châtiment corporel cuisant, qui l’aurait fait souffrir jusqu’à samedi. Elle était sur le point de tout abandonner, de remettre sa jupe et son chemisier au dessus de son maillot et de rentrer chez elle.
Elle prit son chemisier, qui était toujours sur le dossier de la chaise où elle l’avait laissé et commença à l’enfiler. Il la regarda, interloqué. « Que fais-tu ? » lui demanda t-il.
« Je m’en vais. J’abandonne, c’est trop dur. J’ai fait le maximum pour être obéissante, ponctuelle, sincère. Et tu veux me punir pour cette sincérité? Pourquoi? Les choses que j’ai faites et pour lesquelles je me suis confiée à toi, tu ne me les avais jamais interdites, ni même déconseillées. J’ai cherché à transcender mon plaisir par tous les moyens à ma disposition. Il y a deux jours, quand je t’ai avoué m’être caressée dans ma voiture, tu m’as presque félicitée, et aujourd’hui, pour les mêmes raisons, tu veux m’infliger trois jours de chasteté absolue. Il n’y a aucune logique, aucune cohérence dans tout cela. Je n’y comprends plus rien. »
Elle continuait à se rhabiller mais ses yeux ...