Marlène (chapitre 4)
Datte: 12/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... milieu de laquelle un mousqueton permettrai d’y suspendre des poids. Elle choisit deux pinces les moins fortes, coupa 50 centimètres de chaînette et commença l’assemblage à l’aide d’anneaux et de petits mousquetons. Elle fixa au milieu un gros mousqueton chromé, susceptible de porter les différents poids qu’elle y suspendrai. Elle assembla ensuite les poids, par collage à chaud. Les deux premiers étaient constitués de deux écrous chacun, les deux suivants de 5 et les deux derniers de 8. Elle colla ensuite à l’intérieur des écrous une chaînette dépassant de 5 centimètres au bout de laquelle elle plaça un anneau. Il lui restait encore pas mal de matériel mais elle décida de s’en tenir là pour aujourd’hui. Les essais seraient pour demain, ou peut-être pour ce soir à son retour. Il était presque 17 heures et elle devait encore se laver, se coiffer et se maquiller.
Elle se doucha soigneusement, puis décida d’enfiler son maillot, directement sur sa peau nue. Ce qu’elle craignait se vérifiait. Le tissu épousait toutes les courbes de son corps et on pouvait deviner la forme de ses seins, surtout des pointes qui ressortaient, comme elles étaient durcies et dressées presque en permanence. De plus, sous le fin tissu beige, la tâche sombre de l’aréole ressortait nettement. Son sexe n’était pas visible, le tissu étant doublé à cet endroit mais on pouvait en distinguer vaguement la forme des petites lèvres. Ses fesses étaient aussi bien dessinées, moulées par le tissu ...
... élastique.
Mais ce qu’elle craignait le plus, c’est l’apparition, comme hier soir mais beaucoup plus rapidement vu l’absence de slip, de la tache mouillée, témoin involontaire et incontrôlable de son excitation.
Elle se coiffa, se maquilla et prit la route comme hier, à 18 heures 15. Elle attendit une dizaine de minutes dans sa voiture à deux rues de chez lui, repartit à 18 heures 55, se gara dans l’allée à 18 heures 57 et sonna à 18 heures 58. Toujours avec une précision d’horloger.
Il la fit entrer dans le salon. Elle remarqua immédiatement la caméra placée sur un trépied au milieu du salon. Il la guida de la main pour la placer face à celle-ci.
« Position numéro 1 » lança t-il. Elle se mit en place et resta immobile. Il s’approcha d’elle et l’examina des pieds à la tête, sous tous les angles. Son regard s’attarda longuement sur sa poitrine, puis sur le haut de ses cuisses. Elle se sentait transpercée. Elle pensa que c’était encore pire que si elle avait été complètement nue. Elle se rendit compte que ses mamelons s’étaient durcis et dressés, ressortant de plus d’un centimètre. Puis, ce qu’elle craignait arriva. Une tâche sombre de plus en plus large apparaissait au niveau de son sexe. Une fois de plus, elle était trempée. Il le remarqua et sourit, sans rien dire. Il repassa derrière la caméra. Il ne disait pas un mot mais elle voyait bien qu’il zoomait sur ses seins, puis sur son sexe.
« Position 8 ». C’était debout, toujours jambes écartées et les mains sur la tête, ...