Le miroir aux alouettes (1)
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... pourtant parfaitement que l’arrachage brutal de son sexe du mien me dépitait toujours. J’en détestais l’effet de vide qui s’en suivait. Alors mon corps en proie à des spasmes violents, dus à un orgasme qui déferlait dans tous mes muscles, se crispait à l’idée de cet abandon trop rapide.
Il s’était de suite reculé puisque je ne sentais plus sa présence auprès de moi.
— Jean… ce n’est pas sympa ! Tu sais parfaitement que je déteste que tu fasses ce genre de chose.
— Oh ! Pardon mon ange ! Mais… je…
— Pff ! Je t’assure que ça me déprime ce grand vide d’un coup ! J’aime quand tu redeviens tout mou en moi et qu’elle s’en va toute seule, sans que tu l’aides… salaud va ! Tu l’as fait exprès pour me faire hurler. À moins que ce ne soit…
— Quoi ?
— Que ce soit pour narguer ton ami qui doit nous entendre depuis son lit. C’est du sadisme ça…
Pour toute réponse, je n’avais obtenu qu’un autre baiser sur la bouche. Jean ne m’avait toujours pas détachée. Et curieusement, il rebandait déjà comme un âne… Bon ! À quarante ans nous n’étions pas si vieux, mais la situation l’avait tout de même drôlement mis en appétit à mon avis. Et bien entendu après m’avoir délié les poignets, il s’était couché sur moi et nous avions rejoué une scène en position dite « du missionnaire ». C’était toujours aussi bon, au moins autant que la première tournée de la soirée.
À tel point que cette fois, et peu de temps après son premier retrait brusque, sa trique rendait l’âme en moi. Et il ...
... attendait sagement que sa bite reprenne des proportions normales afin de glisser hors du nid qui l’avait accueilli avec plaisir, pour ne pas risquer un incident diplomatique. Nous étions restés encore un long moment à nous caresser sur le canapé et sans trop faire de bruit, nous avions gagné notre chambre. Apparemment Marc dormait. Le sommeil était venu assez vite, lourd et sans rêves !
Quelques jours plus tard, notre ami Marc rentrait chez lui. Un énorme bouquet de roses était arrivé le lendemain de son départ pour me remercier de l’avoir si bien reçu. Je n’avais rien trouvé d’étrange dans la démarche, le collègue et néanmoins ami de notre couple était courtois et très civilisé. Un type bien comme l’appelait souvent mon mari. Tout aurait pu rester en l’état si par hasard, à moins que ce fût intentionnel, Jean n’avait un matin, quelques semaines après le séjour de cet ami omis de fermer son ordinateur portable. La scène figée sur l’écran était de nature à attirer mon regard, à attiser ma curiosité.
— oooOOooo —
On y voyait un film qu’au prime abord je jugeais assez osé. Une femme dans une situation plutôt avantageuse, inerte dans une position assez… ouverte semblait être prise par un homme. Intrigué par ce que pouvait bien visionner Jean, lui qui à la maison avait tout ce qu’un homme pouvait attendre d’une femme, pourquoi aurait-il regardé des films pornos ? Alors sans trop savoir pourquoi, j’avais appuyé sur le bouton pour relancer sa machine.
Et d’un coup, j’étais ...