Le miroir aux alouettes (1)
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... reviens dans deux minutes… je ne serai pas long…
Ensuite je percevais depuis ma position allongée le bruit des verres, sans pour autant savoir de quoi il retournait. Puis Jean était revenu et il m’avait juste redressé en me maintenant le dos de sa main. Il m’avait fait boire comme on donnerait à boire à un enfant. Ensuite, il avait à nouveau quitté les lieux avant d’y revenir quelques instants plus tard. Il m’avait caressé la joue, et sa main avait coulé le long de mon cou, en direction de mes seins. J’étais absolument nue et lui également, puisque nous étions dans la continuité de nos préliminaires débutés quelque temps auparavant.
Il me murmurait quelques mots gentils, gardant ses mains sur mon ventre. À la lisière de mon sexe et un de ses doigts s’enroulait dans la petite touffe de poils ornant mon pubis. Seuls mes poignets étaient entravés, mes bras passés de part et d’autre d’un accoudoir du sofa. Je m’imaginais la scène, cuisses entrouvertes et ses paluches qui me câlinaient. Bien entendu l’envie m’avait gagné bien vite et je mouillais depuis le début de cette séance que Jean s’ingéniait à rendre la plus tendre possible.
Il marqua une nouvelle pause, s’écartant de moi pour une obscure raison. Lorsqu’il m’approcha de nouveau s’était simplement pour plonger son visage entre mes jambes largement écartelées. Sa langue se faisait alors ambassadrice de ses envies et lentement il me léchait sur toute la longueur de mon sexe. Inutile de dire que mon souffle était de ...
... plus en plus court, que mes gémissements allaient crescendo. Le long supplice me faisait tanguer à droite et à gauche et mes mains inutilisables, tout rendait mon corps fou de désir.
C’était donc ainsi que mon clitoris mis à rude épreuve, je criais de plus en plus fort. J’avais beau songer que Marc, notre ami, dormait à proximité, rien ne parvenait à calmer mon appétit grandissant. Et j’en arrivais à supplier Jean.
— Oh ! Mon amour, s’il te plait, prends-moi ! Je t’en supplie baise moi ! C’est trop bon ! Ne me laisse pas comme ça ! Fais de moi ta chose, ta salope, vas-y ! Baise-moi…
Il gardait sa tête enfouie dans mon entrejambe et imperturbablement continuait son travail de sape. Les doigts pinçaient et les dents mordillaient mon bouton sans que je puisse intervenir pour arrêter ce tourment. Enfin au bout de je ne sais combien de temps, il abandonna la place et je sentis ses mains qui enfin remontaient mes talons sur ses épaules. Et très, très lentement, sa queue entrait en moi. J’étais d’un coup secouée de partout, avec une nervosité qui me convenait parfaitement. Et cette fois encore, mes cris se transformaient en hurlements.
Les soupirs de plaisirs de Jean venaient encore renforcer mon sentiment d’envie et c’était un cercle vicieux. Notre étreinte durait depuis un bon moment déjà et finalement mon mari se retirait précipitamment pour éjaculer en dehors de mon ventre. Le salaud avait même réussi à me faire crier plus violemment par cette manœuvre. Il connaissait ...