1. La rue


    Datte: 25/01/2018, Catégories: fh, couple, extracon, cocus, fépilée, coiffure, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, amourdura, extraconj, Auteur: Duroc, Source: Revebebe

    ... pas un truc à faire reluire les nanas ? Qu’est-ce que tu en dis ? Grosse cochonne, j’avais bien vu que tu étais une chaude. Oh ! Aaaha, reuh, t’arrête pas. Encore, tu aimes ma bite au fond de ta bouche. Rhaan, suce, belle vache. Elle est bonne hein, ma pine de taureau.
    
    Elle doit avoir la bouche pleine, ne répond pas.
    
    — Bon couche-toi sur le bord du lit, écarte que j’admire ta cramouille. Ah ! Les belles escalopes de baiseuse. Tu te tailles le maillot toute seule ?
    — Non, entre coiffeuses on se rend service
    — Les vicieuses ! Vous devez bien rigoler et vous chatouiller comme des gouines, hein !
    — Mais non, on fait ça entre femmes, mais naturellement. Parfois ça dérape un peu, mais c’est sans conséquences.
    
    J’en apprends de belles sur ma femme! Il est des questions que je n’ai jamais posées. Marcel est direct, ça plaît aux femmes sans doute.
    
    — J’adore ton mignon petit minou. Ho ! C’est tout rose là-dedans. Je peux entrer un doigt ? Tu aimes ?
    — Humm, oui, mais fais doucement. Comme ça, plus profond. Hihihi, ta langue sur mon bouton, huuum.
    — Dis, si je venais demain, une heure plus tôt, on pourrait prendre notre temps. Ton vieux rentre entre midi et deux ?
    — Bien, demain viens à midi et quart. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? Hou, ha c’est si bon.
    — Je vois, tu en veux, je vais t’en donner. Tu te tournes, à quatre pattes en travers au bord du matelas et tu exposes ton joli cul. Magnifique. Que c’est beau ce fruit gonflé et fendu. Tiens, tu sens ma queue. ...
    ... J’adore me promener à la porte, élargir le passage peu à peu. Tu piaffes, tiens, prends ça, rrrhha.
    — Aïe, la brute, oh ! Oui, encore. Une grosse comme ça, ça remplit, ça fait chaud.
    
    Après tout ce qu’elle a pris hier soir, elle repart au quart de tour. Ma parole, elle assure 7 sur 7 et 24 sur 24. Je suis près de la porte. Elle est tournée vers la fenêtre, il est collé à son dos et me présente ses fesses poilues. À grands coups de boutoir, il lui explose le sexe. Fesses en l’air, le vagin rempli par un gourdin que je ne vois pas ou presque, elle résiste aux chocs puis sa tête rejoint ses avant-bras sur le drap. Il est fort, violent, pressé. Elle s’accroche au drap, pince le matelas pour ne pas partir vers l’avant. Du bras gauche Marcel la maintient en place, de la main droite, il torture un sein ou écrase le clitoris.
    
    — Qu’est-ce que tu jutes. Le terrain est glissant. Heureusement, ça te permet de recevoir mon calibre.
    
    Il souffle bruyamment. Les bruits des respirations se mêlent, de plus en plus forts, de plus en plus irréguliers.
    
    — C’est bon, hein. C’est pas ton Jules qui te fait du bien comme ça, heu. Celle là, tu la sens passer, héhé. Allez, encaisse, pour une première fois, hoi, tu vas gueuler, je le sens, han. Tu mouilles, cochonne. Je vois que tu aimes. Tiens, tiens, tiens. Prends, prends ça, ha !
    — Ohh ! Haaa ! Encore, plus fort. C’est bon, c’est bon, c’est bonbon.
    
    Effectivement, elle en veut ! Certes, je ne suis pas aussi brutal. Trop de délicatesse est ...
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