1. La rue


    Datte: 25/01/2018, Catégories: fh, couple, extracon, cocus, fépilée, coiffure, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, amourdura, extraconj, Auteur: Duroc, Source: Revebebe

    ... m’aimait, me prépara mon petit déjeuner et m’expédia au travail, embrassé, caressé, câliné comme un époux de fraîche date. N’eût été ce que j’avais vu et entendu, je me serais félicité d’avoir éloigné le danger. Mon patron m’accorda un congé pour l’après-midi. Ma demande exceptionnelle tombait à un moment de moindre charge. Habituellement Émilie prenait un repas léger au salon de coiffure, pour conserver une ligne enviée de ses clientes. Je rentrai à la maison, vidai ma gamelle et attendis l’heure du rendez-vous
    
    Émilie entre, monte à l’étage. Au bruit de ses talons sur le parquet, je suis ses déplacements. Elle s’attarde à la salle de bain, l’eau coule, un léger nuage de parfum de luxe descend vers la cave où je me terre. Sa présence à cette heure dans notre maison aurait de quoi surprendre en temps ordinaire. On sonne.
    
    — Pousse la porte et monte, je t’attends. Tu vas bien, beau gosse ?
    — Oh ! Que tu es belle. Quel beau morceau. C’est chic chez toi !
    
    C’est le boucher qui parle. Il s’est arrêté au pied de l’escalier pour clamer son admiration.
    
    — Tourne, doucement. Quel corps magnifique. Quel cul ! Royal ! Et tes yeux, comme deux miroirs brillants.
    
    Je mets ma main sur ma bouche pour ne pas éclater de rire.
    
    — Viens, monte ton bouquet que je le place dans un vase. C’est gentil, merci.
    
    Il gravit les marches trois par trois, s’arrête. Silence. Long silence. J’ouvre, je me penche: ils sont sur le palier, dans l’attitude où je les ai vus hier dans la rue. Il ne ...
    ... s’est pas déplacé pour parler littérature, il est déjà dans le vif du sujet. Bouquet dans une main, Émilie ne résiste pas à la pression du genou pressé de l‘ouvrir. Les cuisses s’écartent, le pied avance, le ventre se pousse contre la jambe. Quelle impatience !
    
    — Un instant, je pose les roses. Tu bois quelque chose : café, alcool ?
    
    Elle se dirige vers la cuisine, il la suit une main sur l’épaule, l’autre sur l’arrière-train dans un geste possessif. Émilie glousse, réclame un peu de patience.
    
    — Tu sais, je devrais être au boulot. Ma patronne va téléphoner à ma femme. Elle m’embête à force.
    
    Ils quittent la cuisine et entrent dans la chambre à coucher sans hésitation. Le temps est compté et l’envie est pressante. Ils se déshabillent en marchant, sèment leurs vêtements.
    
    — Dégrafe mon soutien-gorge. Tu aimes mes seins ? Embrasse-les, dis-leur bonjour. J’adore
    — Ha ! Tu es encore plus belle que je ne le pensais. Quelle chance de t’avoir draguée. C’est à toi ces deux splendides nibars ? Et ce cul. Somptueux. Mais tu vois, moi aussi j’ai de la belle marchandise, tu ne seras pas volée. Tâte ce morceau. Tu n’en vois pas un comme ça tous les jours, hein. Touche, n’aie pas peur. Ce n’est pas du toc. Fais-moi bander.
    — C’est vrai qu’il est beau et majestueux ; comme il réagit, dis donc ! Je lui fais un bisou ?
    — Tu peux même le lécher et le sucer si tu en as envie. Oui. Oh mais tu sais faire. Ben ma fille, t’es experte. Va, avale, oui crache un peu dessus. Encore. C’est ...
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