1. Bien connaître son histoire pour ne pas la revivre


    Datte: 02/06/2018, Catégories: fh, bizarre, amour, nonéro, confession, mélo, portrait, coupfoudr, amourdura, amourpass, amourcach, consoler, attirautr, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... demandait, satisfait, déjà, de la tendresse infinie qu’elle m’offrait.
    
    C’est Marlène qui a quitté son corsage en me regardant dans les yeux, puis qui a dégrafé son soutien-gorge avant de le jeter sur le lit. C’est elle qui a pris mes mains pour les poser sur ses petits seins, m’invitant à la caresser. C’est elle qui a déboutonné sa jupe et l’a laissé tomber au sol, elle aussi qui a fait rouler sa culotte à ses pieds pour se montrer nue devant moi, fragile comme de la porcelaine, chétive presque, mais tellement désirable.
    
    C’est elle qui a fait tomber ma chemise puis mon pantalon, qui a baissé mon boxer, puis qui s’est collée contre moi pour m’embrasser. C’est elle qui m’a attiré vers le lit et s’est allongée devant moi, les bras ouverts pour que je la rejoigne. J’avais tellement envie d’elle, de la couvrir de baisers, de la cajoler, de la dorloter, de la caresser, de la lécher, et j’avais tellement peur aussi de la briser, de lui faire mal, d’être maladroit. Je suis assez carré et lourd, elle est petite et frêle. Je suis musculeux et patiné, elle est toute minuscule. Quand je me suis allongé sur elle, j’ai eu peur de l’écraser tellement notre différence de gabarit est importante.
    
    Sa petite main est venue chercher ma verge pour la guider vers elle, vers son intimité étroite et chaude qui voulait m’accueillir. Je l’ai laissée me guider, descendre vers moi. Sa main me caressait en même temps qu’elle poussait pour me prendre tout doucement en elle. La tête en arrière, ...
    ... concentrée, décidée, elle s’est tout doucement adaptée à la taille de mon sexe pour qu’enfin je voie tout en elle. J’aurais pu la broyer, la défoncer, la briser. Je ressentais un tel amour pour cette toute petite femme qu’au contraire je me suis attaché à rester tendre, à la prendre comme on prend une déesse, pour lui donner mon cœur, lui donner mon âme. Nous avons fait l’amour si tendrement, si tranquillement, comme des amis qui se veulent du bien.
    
    Elle est devenue petit à petit plus vorace, plus dynamique, plus salope. À mesure que notre relation s’est installée, que sa confiance en moi s’est confortée, nous avons atteint un niveau de complicité incroyable. La voir aujourd’hui heureuse fait mon bonheur, même si parfois je sens encore en elle des pointes de mélancolie quand elle repense à son passé.
    
    Quand elle me parle de son passé, des coups que lui mettait son mari, je sais qu’ensuite je la prendrai dans mes bras pendant qu’elle pleure, que je la rassurerai, que nous dormirons dans les bras l’un de l’autre, qu’elle n’aura pas envie de faire l’amour et moi non plus. Je sais qu’au réveil, ou même en pleine nuit, je sentirai sa petite bouche se saisir de mon sexe. Je sais qu’elle viendra à genoux entre mes cuisses et qu’elle me sucera, une main passée entre ses cuisses pour se masturber, puis qu’elle viendra sur moi, qu’elle me prendra en elle en m’embrassant et en me disant qu’elle m’aime, qu’elle ira et viendra sur ma queue tendue jusqu’à s’inonder de mon plaisir, ...
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