1. Plaisir matinal


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fplusag, frousses, inconnu, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral québec, occasion, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... plus.
    
    — Serre plus, Pierrette…
    
    Elle le fit, compressant ma hampe, cette fois ça y était.
    
    — Oui… Comme ça c’est bon… Ahhh…
    
    Mes genoux flageolaient, j’étais sur le point d’exploser, les gros muscles à l’intérieur de mes cuisses se contractaient et je tanguais d’avant en arrière en sentant l’orgasme enfin monter. Encore là, le timide que je suis n’aurait jamais cru qu’une femme comme elle puisse avaler, surtout le sperme d’un inconnu.
    
    La tasse de sucre pencha dangereusement quand le sperme grimpa dans mon urètre, je la redressai en râlant, crispé, dents serrées, geignant de plaisir, orteils retroussés en explosant enfin dans sa bouche contre son palais et droit dans sa gorge.
    
    Elle sursauta et gémit par le nez tandis que mon premier jet de sperme, le plus puissant, jaillissait. Elle avala aussitôt, compressant mon gland contre son palais, narines dilatées.
    
    — Ahhh… fis-je tétanisé par le plaisir, les yeux fous en fixant sa bouche, aussi électrisé par mon orgasme que par le fait que cette femme-là avalait mon sperme.
    
    J’en perdis le souffle et mon cœur sembla s’arrêter, sa petite main bien serrée stoppa et elle se contenta de me laisser jouir. Sous le coup du plaisir, je me penchai vers l’avant en me frappant les genoux et faillis renverser le sucre encore une fois, mais je m’en foutais complètement en déchargeant encore et encore comme si j’avais pas éjaculé depuis des mois. Elle avalait à chaque giclée et ça accentuait mon plaisir. J’allais cette fois ...
    ... renverser la tasse, trop concentré sur mon plaisir, quand une main de femme l’agrippa juste à temps et me l’enleva. Je crus que c’était Pierrette. Aussitôt ma main libre se referma dans sa chevelure avec l’autre et je me mis à pousser ma bite le plus loin possible dans sa bouche pour me finir. Je ressentais un plaisir puissant à tenir la tête de cette femme et à pousser ma bite entre ses lèvres. Son poing était si serré que c’est à peine si ma queue bougeait, mais ce fut suffisant.
    
    Puis je réalisai qu’elle me serrait toujours les couilles, donc que quelqu’un d’autre m’avait pris la tasse. Mon cœur s’arrêta de battre cette fois, croyant que c’était Suzanne, je tournai la tête en lâchant un autre jet de sperme avalé aussitôt et je me figeai de surprise en voyant une grande femme rousse, mince et sexy, pieds nus, aux longues jambes musclées, en short en jean, haut de bikini noir et qui riait à gorge déployée, les yeux quasiment fermés et tête en arrière. Je voyais tous ses plombages. C’était la nièce, sans aucun doute, et je compris tout de suite pourquoi j’avais cru reconnaître cette voix-là, ce matin.
    
    C’était une lectrice de nouvelles à la télé nationale, l’une des plus connues de la province et certainement la plus bandante. Une grande femme de ma taille et de mon âge aux longs cheveux blond-roux, mince, ventre plat, toute en jambes. Elle avait un beau visage ovale aux joues creuses, aux lèvres pulpeuses avec de grands yeux étirés en demi-lune presque toujours à moitié ...
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