1. Plaisir matinal


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fplusag, frousses, inconnu, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral québec, occasion, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... lui dis-je en m’en allant, je te laisse la place mais j’ai marqué mon territoire, tant pis pour toi !
    
    Un peu plus tard en prenant un café, assis à la petite table dans la cuisinette de notre roulotte, le ventre plein, je ne cessais de me demander qui pouvait bien être l’autre femme dont je connaissais si bien la voix. J’avais beau me creuser la tête, rien à faire. Et pourtant…
    
    Toc ! Toc ! Toc !
    
    Je sursautai comme un gamin surpris en train de voler dans la caisse paroissiale. Perdu dans mes pensées, je n’avais entendu venir personne. On frappait doucement à la porte de peur sans doute de nous réveiller. Suzanne grogna et se retourna sur le dos, de travers dans le lit, jambes écartées, bras en croix, faisant rouler ses énormes seins en ronflant doucement. Si j’ouvrais, la personne qui était là aurait une vue splendide sur sa vulve aux grandes lèvres brunes surmontées d’une belle toison noire, et comme elle dormait sur les couvertures, j’avais rien pour la cacher.
    
    Je penchai la tête pour regarder par la fenêtre et aperçus ma belle cycliste. Mon cœur fit un bond tout comme ma bite, ses longs cheveux roux étaient remontés en chignon, elle était pieds nus, en pantalon de camouflage ample style armée et en minusculecamisole verte sans soutien-gorge. Un sein magnifique en forme de poire, tout blanc, au petit mamelon brun-rose gonflé et dur, en sortait d’ailleurs. Je déglutis bruyamment en voyant ce beau spectacle matinal, sentant mon scrotum se contracter sur la ...
    ... chaise. La rousse pencha la tête, vit son sein à l’air et le repoussa nonchalamment sous la camisole avant de frapper à nouveau. Cette vision réveilla mes bas instincts évidemment !
    
    « Tant pis pour Suzanne ! » me dis-je en me levant, surexcité. Ma bite qui avait gonflé dur en un temps record heurta fortement le dessous de la table, m’arrachant une grimace de douleur.
    
    J’allai à la fenêtre de la porte avec ma bite qui tanguait, écartai les petits stores verticaux et lui fis signe d’attendre une minute. J’eus droit à un sourire radieux. Petit Jésus !
    
    Je ramassai mon short en jean par terre et l’enfilai, y poussant tant bien que mal ma queue douloureuse tellement elle était dure contre mon ventre et me zippant prudemment pour éviter de m’arracher un peu de peau. Mon gland dépassait, je cherchai mon t-shirt et le trouvai dans un coin sous l’énorme soutien-gorge noir de Suzanne et j’ouvris, nerveux, conscient que malgré mon t-shirt, mon érection était bien visible, ce qui me fit bander encore plus dur. Merde !
    
    — Bonjour ! dit-elle avec un sourire désarmant plissant ses jolis yeux d’un brun-vert étincelant. Je voulais pas vous réveiller, mon bon monsieur !
    — Mais non, je prenais un café !
    
    Comme il y avait trois marches, son visage était à hauteur de mon entrejambe et elle vit ma bosse et sourit, moi j’avais une vue imprenable dans sa camisole, sa gorge était couverte de taches de rousseur magnifiques. Elle rougit un peu et ses mamelons commencèrent à pointer pas mal ...
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