Plaisir matinal
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
inconnu,
hépilé,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
québec,
occasion,
camping,
Auteur: Ingyt, Source: Revebebe
Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.
Je m’éveillai tôt le lendemain matin, les oiseaux commençaient à chanter et j’avais une sacrée envie. Suzanne, à demi couchée sur moi, m’écrasait de tout son poids, ses énormes seins aplatis sur mon torse étaient en sueur et son genou droit pesait sur ma vessie. On s’était endormis nus après avoir baisé jusqu’à tard dans la nuit. La suspension de notre petite roulotte avait dû en prendre un coup. Notre petite séance sur le ponceau nous avait passablement excités. Mais là, il fallait que je me lève avant de bander ; pisser quand on est dur c’est pas évident.
Je réussis à me dégager sans la réveiller et sortis, l’air frais du matin finit de me réveiller. Je regardai le ciel bleu sans nuages annonçant une belle journée et la rivière qui s’écoulait doucement et souris, heureux. Je m’installai près d’un grand sapin, jambes écartées, en repensant à la cycliste d’hier. Je savais que ma blonde dormirait au moins jusqu’à neuf heures et il n’était que sept heures du matin. J’avais amplement le temps de prendre un bon café chaud, de manger quelque chose et de partir en excursion avec ma caméra pour débusquer cette jolie rousse et peut-être discuter un peu avec si elle était réveillée et seule ou juste l’observer en cachette. Je verrais bien !
J’urinais ...
... toujours quand j’entendis des rires de femmes provenant du chemin. Je ne pouvais rien voir depuis l’endroit ou je me trouvais, caché par de gros buissons. Puis des bruits de pas qui se rapprochaient, des bribes de conversation, deux femmes qui discutaient et riaient encore. Je reconnus aussitôt la voix de la rousse et ça me donna la chair de poule et m’excita terriblement, d’être là, si près, et nu. Mais, étrangement, je me rendis compte que je connaissais aussi l’autre voix. Une voix un peu plus profonde, plus sensuelle, un peu éraillée également. Je la connaissais très bien, même, mais sans pouvoir l’associer à qui que ce soit et ça m’intriguait.
Je pissais toujours bruyamment au moment où elles passèrent tout près. Elles ne pouvaient pas ne pas l’entendre, c’était un peu gênant et il y eut un petit silence puis encore des rires qui se répercutaient au loin dans les bois tandis qu’elles s’éloignaient. Ma bite enflait dans ma main. « Vive le camping ! » me dis-je tout sourire en sentant une petite brise fraîche provenant de la rivière me caresser les fesses.
Je finis enfin de vider ma vessie, bandé dur cette fois, et me la secouai en grimaçant tandis qu’un écureuil sautait d’arbre en arbre en criant. Puis la petite bête atterrit sur le sol et me fit ses gros yeux méchants toutes griffes sorties.
Eh ben !
Un frisson glacé me parcourut l’échine. J’avais eu un petit démêlé avec un écureuil à Montréal et j’avais dû me faire piquer pour le tétanos.
— OK, mon beau, ...