1. Plaisir matinal


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fplusag, frousses, inconnu, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral québec, occasion, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... dans mes runnings tellement c’était bon de se faire sucer par une femme comme elle ; et de soixante-sept ans, en plus ! Je suis certain que bien des hommes qu’elle avait côtoyés avaient dû en rêver.
    
    J’y croyais toujours pas et pourtant je sentais bien mon gland sensible glisser sur sa petite langue pointue et humide qu’elle agitait parfois, m’arrachant des grimaces. Je voyais bien ses lèvres minces luisantes de salive arrondies autour de ma hampe et je sentais bien aussi sa petite main qui me pompait, heurtant mon ventre et ses lèvres. Se faire sucer par une femme comme elle, c’était sacrément excitant, trop pour que je puisse me retenir longtemps.
    
    Sous le coup de l’excitation, j’essayais de pousser ma bite plus profondément dans sa bouche en serrant les fesses mais son poing m’en empêchait. C’était un peu frustrant, mais je compris qu’elle n’en avait pas envie et je n’insistai pas. J’essayais de me concentrer pour que ça dure le plus longtemps possible mais se faire sucer juste le gland comme ça, ça agace entabarnouche, et mon cœur cognait de plus en plus sans parler de l’autre main malaxant mes testicules.
    
    Je vis que le même sein que tout à l’heure était encore sorti de sa camisole et se balançait mollement comme l’autre. Ses mamelons étaient gonflés et durs et elle devait mouiller dans sa petite culotte. J’aurais tout donné pour la baiser d’aplomb, là, sur la route, étendu sur elle ou en levrette ; elle devait avoir un sacré beau cul. Mais pour l’instant, la ...
    ... pipe me suffisait amplement ; c’était même au-delà de mes espérances et je priais pour qu’on n’entende pas de voiture arriver, dents serrées et en sueur.
    
    Il me semblait tout à coup que je sentais plus l’odeur de la forêt, un mélange de pin, d’humus et de terre noire. J’entendais même un ruisseau qui cascadait au loin et surtout des bruits de succion provenant de la bouche arrondie de Pierrette qui laissait s’écouler de la salive rendant sa petite main bien glissante.
    
    Cette pipe matinale m’électrisait et m’arrachait des petites plaintes. J’étais au paradis !
    
    Mais c’était trop pour moi si tôt le matin et j’étais bandé depuis trop longtemps. Mes couilles rentrèrent, mon scrotum durcit, ma queue devint plus grosse, plus sensible, le gland surtout et je sentis l’orgasme arriver. Je serrai ses cheveux plus fort en disant…
    
    — Attention, Pierrette, je viens. Ouf…
    
    Elle stoppa, mais garda mon gland dans sa bouche et me crossa plus fort et plus vite sans lâcher mes couilles… Des gouttes de liquide séminal ou de sperme sortaient déjà de mon gland et tombaient sur sa langue. J’étais tendu comme la corde d’un arc et je gémissais plus fort.
    
    — Pierrette, l’avertis-je à nouveau la voix chevrotante, ça vient…
    
    Elle continua, je compris alors qu’elle se préparait à tout avaler. J’allais de surprise en surprise avec cette vieille dame très digne. Ça redoubla mon excitation, mais sa petite main ne serrait pas assez pour me faire jouir. Ça restait juste sur le bord et j’en pouvais ...
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